Note de la fic :
La lame Bouddhiste
Par : Aknow
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : C'est compliqué
Chapitre 4 : Chapitre 6-7-8
Publié le 23/04/2012 à 19:54:05 par Aknow
…..
-Tien bon gars, on te sortir de là !!
.
…….
..
On est hors d’atteinte, mon seigneur !! »
J’ai mal, je suis mort ? Je pensai que c’était une délivrance mais cette jambe me fait atrocement souffrir. J’ouvre les yeux ? Le paradis ressemble à une cabine de bateau ? Je n’ai vraiment pas de chance.
-Bonjour, je m’appelle François Duval, je suis français, me comprenez-vous ?(en français dans le texte)
Je n’ai rien compris un seul mot de ce qu’il a dit, je crois que c’est du français, je tente une approche en italien, puis j’essaierai le japonais on sait jamais.
-Bonjour je m’appelle Taka Mizuchi, je suis japonais, me comprenez-vous ?
Il n’a pas l’air de comprendre on n’est pas sorti de la berge. Une femme rentra dans la pièce, et demande quelque chose à l’homme qui tentait une discussion. Elle se mit à parler en italien :
-Bonjour, noble étranger, enfin si je puis dire ainsi. Je me nomme Esla Duval, et voici mon frère François Duval. Nous t’avons récupérer il y a deux jours dans l’eau entourant Venise. Il me semble que vous tentiez d’échapper aux gardes Borgia. N’ayez crainte nous sommes vos amies. Je suis une cousine de Leonard de Vinci, l’homme qui figure sur la photo sur la gauche, au bras d’Ezio Auditore et de votre père.
-Désolés, cela fait beaucoup trop à assimiler en même temps. Qui êtes vous ? Où suis-je ? Et où m’emmener vous ?
- Nous faisons partie de la confrérie des Assassins, dont l’unique Maitre est Ezio Auditore, emprisonné en ce moment même dans les geôles du château saint ange. Cellule conçu par Cesare Borgia, l’homme qui a ordonné a La volpe de tué ton père, et à Machiavelli de poursuivre ta mère, il essaye d’infiltrer les assassins a la maison mère qui se trouve a Masyaf. Nous ne savons pas pourquoi cependant. A l’heure où je te parle nous sommes en route pour y allez, et on est au port de Forli. On doit prendre des provisions.
-Je dois retourner chez moi.
- Non ! Il n’y a plus rien chez toi, on y est passé avant de venir te secourir, des hommes à moi sont mort là bas, Cesare avait demandé de ratisser la villa. Et pour Otsuru sache que j’ai des hommes infiltrés qui la surveillent de prêt, je reçois des messages tout les jours sur la situation. Il l’emmène dans la même prison qu’Ezio. Tu dois nous aidés. Les arrêter. On n’y arrivera pas sans toi !
-Qu’ai-je donc d’exceptionnel ? Je ne sais même pas me battre et vous voudriez que je devienne un… ASSASSIN ?!! Mon père était un assassin ? Et ma mère aussi ? Depuis quand ? Est-ce que ça a un rapport avec la lame bouddhiste dont ils parlaient et..
- La lame bouddhiste ? Tu parles.. De la légende ?
- La volpe, il demandait à mon père où elles se trouvaient, la lame et ma mère.
- La lame est une légende je te dis, elle n’a jamais existé, du moins les moines prétendent que la venue du prophète engendrera un chaos sur le monde et alors la lame viendra et supprimera tout ceux qui s’opposeront a son possesseur.
- C’est donc pour ça que Cesare la veut. Il veut supprimer les assassins ?
-Je pense oui. Si ton père nous a rejoins il y a 17 ans, c’est parce que le gouvernement l’avait démasqué. Il travaillait, enfin, avait infiltrés les petits papiers de la famille Ashikaga Taka, le shogun pour être précise. Ils avaient en leur possession les plans du Monastère de Sera, qui abriterait la légendaire lame.
-Mon père ? Je ne le connaissais pas tout compte fait. Que dois-je faire ? Aaaaahhh réfléchi !!
-Vien avec nous a Masyaf, on te formera et on pourra libérer Ezio.
Il va falloir plusieurs moi avant d’amarrer à Saint Jean d’Acre. Je n’aime pas tourner en rond, et je pense qu’Esla le sait, elle s’empresse de sortir et reviens 5 minute plus tard avec un sabre.
« Il y a 4 ans, ton père, à demandé à Muramasa Sengo, le forgeron japonais, de lui crée une arme aussi puissante que maniable. Il y a 2 ans il a reçu la visite de cet homme, tu dois t’en souvenir normalement.
-Oui je m’en souviens, père m’a aussitôt dit d’allez dans ma chambre.
-Je le comprends, ce sabre ne peut appartenir qu’à une seule personne à la fois, une fois dans ta chambre, il ne restait que ton père et Muramasa. Il est le forgeron, le sabre, le lui appartient pas vraiment, ton père ouvrit le paquet et découvrit le sabre Muramasa. Il m’a raconté qu’une lumière là inondée de l’intérieur, une puissance jamais connu. Il y a 2 semaines, il me l’a confié. Il devait savoir qu’il se tramait quelque chose. Il m’a dit de ne pas l’ouvrir, quelle appartenait à son fils.
-Un sabre ? Pour moi, je me lève pour la prendre mais Esla s’y opposa.
-Ce sabre se mérite, ainsi il m’a laissé cinq épreuves à te faire passer. Réussi les, et tu pourras la prendre.
-Quels sont-elles ? Ces épreuves.
-Commençons par le commencement. Tu dois prêter serment au nom de la confrérie et je t’enseignerai les bases du maniement du sabre, vois tu, j’ai aussi un sabre, pas aussi puissant que le tien mais suffisamment pour tuer.
-C’est la première épreuve ?
-Non les épreuves t’attendent à Masyaf. Nous avons 1 mois et 1 semaine pour te perfectionner, on va commencer avec ces boken, sabre en bois.
-Bien dans ce cas commençons par le commencement. »
Rome, 1503.Château Saint-Ange
Combien de mois sont passé depuis mon emprisonnement? A la limite je m’en fiche, aujourd’hui je m’évade. Leonardo. Je viens à toi. Je dois voir la pomme. Cesare s’est bel et bien évadé et à relancer son offensive. Il marche droit vers Viana. Aujourd’hui un nouveau prisonnier est transférer dans ma cellule. Ca sera le moment où jamais, de partir. Il ne devrait plus tarder à présent, d’ailleurs, j’entends des pas approchant. Qu’entends-je ? Une petite fille ? Jusqu’où iront-ils ? Ils entrent enfin. Mais ? C’est Otsuru !! La fille de Takezo.
« Salut Ezio ! Dit un garde, les rats ne seront plus ton uniques compagnie à présent. Hahahaha.
-Tu t’en prends aux petites filles maintenant ? Je ne pensai pas que tu descendrais aussi bas Don Motelsh.
- J’aurai bien aimé attraper son frère aussi mais il s’est fait sauver par des amis à toi je suppose. Des français !! Tu tombe bien bas.
- Il faut rester ouvert d’esprit, s’ouvrir au monde extérieur. Qui a-t-il ? Tu as peur des gens ? C’est mignon !!
- Mais qu’est ce que vous avez tous à me critiquer !! cria-t-il. Ce jeune Taka aussi avait une grand bouche, mais il a détalé une fois mon épée sortit.
-Laisse moi deviner, il n’avait pas d’arme c’est ça ? Quel triomphe, je t’applaudis. En plus il t’a échappé.
-Messieurs, jeter la moi au trou, et fait taire cet énergumène. Je m’en vais rejoindre Cesare à Viana. Je n’aimerai pas qu’il commence les festivités sans moi. »
Don Motelsh est parti, il y a quatre garde qui rentre dans la pièce et deux dehors le dos tourné, il faut que je fasse vite. Le garde de droite tente de me frapper au crâne, je l’esquive, je bloque son bras, Crac ! Son coude s’est déboité, je me saisi de sa lame et je tue les deux autres gardes qui viennent vers moi. La gorge coupé le sang se répand à une vitesse folle. Le dernier tente de sortir avant que les autres gardes ne ferment la porte.Vite. Je me faufile entre le garde et la porte et je la referme sur la tête du garde. L’un m’entaille le bras superficiellement, je ne puis espérer mieux. J’attrape le garde le plus proche car le deuxième tente de me tirer dessus. Vieil enchainement qui marche toujours autant. Le troisième est toujours sonné à cause de la porte, tant mieux il ne faut pas trop compliquer les choses. Je prends un couteau dans la poche de celui que je tien et le lance sur le tireur. Il esquive et s’apprête à appeler du renfort. Non il ne faut pas !! Tant pis pour l’épée, je la lance sur le garde. Il s’effondre sous la douleur de la lame transperçant la gorge. Il me reste encore celui que je tien, son cou n’était pas très flexible j’eu du mal à le faire craquer. Le dernier se réveil, mais d’une courte durée, je le renvoi dans la cellule a coup de pied. Otsuru. Mince, elle n’aurait jamais du voir cela. Mais.. ? Instinctivement elle a fermé les yeux. Elle est très courageuse. Je la prends avec moi, je dois partir, l’évasion commence. Je me souviens vaguement des couloirs, mais mon instinct est excellent. Enfin était. Je rentre dans le hall juste après les cellules. Il y a un escalier en colimaçon, je me souviens y être passé lorsque je sauvais Catherina. Des gardes arrivent, ne tentons pas l’impossible. Ils sont trop prêt ils ne vont pas tarder à s’apercevoir de ma présence. Otsuru ? Que fait-elle, que me montre-t-elle ? Son doigt m’indique le plafond. Qu’est ce donc ? Une fresque ? Non attend, je dois utiliser ma vision d’aigle. C’est une trappe ? Comment le sait-elle ? S’en ai presque insensé !! Soit, je vais passer par là en escaladant. Ils s’en vont continuer leurs rondes. Comment vais-je pouvoir passer par cette trappe ? C’est théoriquement infaisable. Là je vois de quoi grimper. C’est parti, Otsuru s’accroche fort sur mes épaules et c’est partit. La porte s’ouvre, comme par enchantement. Je m’en étonne deux secondes, mais je n’ai pas le temps je rentre. Il fait noir, je crois être dans un conduit d’air. Un conduit d’aération ? Pourquoi faire ? Les gens ont de ses idées je vous jure. Je marche pendant environ une minute. AAAaaahhh, je tombe… non plutôt je glisse, c’est une glissade interminable dans le noir, où vais-je atterrir ? Plouf !! Je suis dans l’eau. Dehors. Je suis, dehors. Enfin. Il y a plein de détritus à cet endroit. Mais !!! C’est mon gant d’assassin. Que fait t’il ici ? Tout arrive si simplement depuis qu’elle est avec moi, s’en est fou. Elle tente de parler : « T’o beau gant. » Oui c’est sur c’est un très beau gant. Je nage, en pleine nuit c’est facile de ne pas me faire repérer. J’atteins enfin la forêt. Pas une seconde à perdre je dois trouver un cheval et des armes. Mais d’abords je dois confier Otsuru à la rose fleurie.
Aah…aah…ah. Elle se défend bien, Esla. Je ne suis pas arrivé à la toucher une seule fois depuis 2 jours. Qu’est ce qu’il me manque, j’arrive pourtant à voir sa lame s’abattre, mais impossible de l’éviter. Même pour parer, je ne puis réagir à tant. Il faut que je m’entraîne, me muscle, et que j’apprenne le Kendo. Du kendo … pour un assassin, je n’en ai jamais entendu parler. Enfin … pour ce que je sais des assassins. La question m’interpelle.
« Mon père faisait il du Kendo ?
-Ton père ? Bien sur que oui. Vous venez du Japon. Ils maitrisent toutes les sortes de combats japonais.
-Alors comment s’est il fait avoir s’il est si fort ?
-Ca, je n’en ai aucune idée. Mais la Volpe à des ressources, ce n’est pas un débutant. Il était plus fort qu’Ezio à une époque. Mais son potentiel se stagne, Pas celui d’Ezio.
- … dans ce cas, arrêtons-nous Au Pirée. Si je dois devenir plus fort alors il faut prendre deux passagers de plus.
- Qui sont-ils ?
- Ce sont des cousins à moi. Enfin je crois. Ils venaient souvent rendre visite à mon père. Tout ce que je sais c’est qu’on les surnomme « Un » et « deux », allez savoir pourquoi.
-Etrange. Que ton père ne m’en a jamais parlé. Sont-ils digne de confiance.
- Ce sont des ninjas. Je pensai que mon père avait besoin de protection. Pourquoi ,je ne sais pas mais... j’ai deux trois question à leurs poser. »
Oui je dois les voir.
Je sors de la rose fleurie. Elle est en sécurité maintenant. Sans Claudia, les forces se sont amoindries. Je dois en finir avec ces Borgia. D’après les informations, Léonardo serait reparti à Venise, tant pis. Il faut que j’envoie un message à Esla Duval, elle doit être avec Taka. Il ne faut surtout pas qu’il s’arrête à Athènes. Les gardes l’attendent. Bien. En route pour Viana.
-Tien bon gars, on te sortir de là !!
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On est hors d’atteinte, mon seigneur !! »
J’ai mal, je suis mort ? Je pensai que c’était une délivrance mais cette jambe me fait atrocement souffrir. J’ouvre les yeux ? Le paradis ressemble à une cabine de bateau ? Je n’ai vraiment pas de chance.
-Bonjour, je m’appelle François Duval, je suis français, me comprenez-vous ?(en français dans le texte)
Je n’ai rien compris un seul mot de ce qu’il a dit, je crois que c’est du français, je tente une approche en italien, puis j’essaierai le japonais on sait jamais.
-Bonjour je m’appelle Taka Mizuchi, je suis japonais, me comprenez-vous ?
Il n’a pas l’air de comprendre on n’est pas sorti de la berge. Une femme rentra dans la pièce, et demande quelque chose à l’homme qui tentait une discussion. Elle se mit à parler en italien :
-Bonjour, noble étranger, enfin si je puis dire ainsi. Je me nomme Esla Duval, et voici mon frère François Duval. Nous t’avons récupérer il y a deux jours dans l’eau entourant Venise. Il me semble que vous tentiez d’échapper aux gardes Borgia. N’ayez crainte nous sommes vos amies. Je suis une cousine de Leonard de Vinci, l’homme qui figure sur la photo sur la gauche, au bras d’Ezio Auditore et de votre père.
-Désolés, cela fait beaucoup trop à assimiler en même temps. Qui êtes vous ? Où suis-je ? Et où m’emmener vous ?
- Nous faisons partie de la confrérie des Assassins, dont l’unique Maitre est Ezio Auditore, emprisonné en ce moment même dans les geôles du château saint ange. Cellule conçu par Cesare Borgia, l’homme qui a ordonné a La volpe de tué ton père, et à Machiavelli de poursuivre ta mère, il essaye d’infiltrer les assassins a la maison mère qui se trouve a Masyaf. Nous ne savons pas pourquoi cependant. A l’heure où je te parle nous sommes en route pour y allez, et on est au port de Forli. On doit prendre des provisions.
-Je dois retourner chez moi.
- Non ! Il n’y a plus rien chez toi, on y est passé avant de venir te secourir, des hommes à moi sont mort là bas, Cesare avait demandé de ratisser la villa. Et pour Otsuru sache que j’ai des hommes infiltrés qui la surveillent de prêt, je reçois des messages tout les jours sur la situation. Il l’emmène dans la même prison qu’Ezio. Tu dois nous aidés. Les arrêter. On n’y arrivera pas sans toi !
-Qu’ai-je donc d’exceptionnel ? Je ne sais même pas me battre et vous voudriez que je devienne un… ASSASSIN ?!! Mon père était un assassin ? Et ma mère aussi ? Depuis quand ? Est-ce que ça a un rapport avec la lame bouddhiste dont ils parlaient et..
- La lame bouddhiste ? Tu parles.. De la légende ?
- La volpe, il demandait à mon père où elles se trouvaient, la lame et ma mère.
- La lame est une légende je te dis, elle n’a jamais existé, du moins les moines prétendent que la venue du prophète engendrera un chaos sur le monde et alors la lame viendra et supprimera tout ceux qui s’opposeront a son possesseur.
- C’est donc pour ça que Cesare la veut. Il veut supprimer les assassins ?
-Je pense oui. Si ton père nous a rejoins il y a 17 ans, c’est parce que le gouvernement l’avait démasqué. Il travaillait, enfin, avait infiltrés les petits papiers de la famille Ashikaga Taka, le shogun pour être précise. Ils avaient en leur possession les plans du Monastère de Sera, qui abriterait la légendaire lame.
-Mon père ? Je ne le connaissais pas tout compte fait. Que dois-je faire ? Aaaaahhh réfléchi !!
-Vien avec nous a Masyaf, on te formera et on pourra libérer Ezio.
Il va falloir plusieurs moi avant d’amarrer à Saint Jean d’Acre. Je n’aime pas tourner en rond, et je pense qu’Esla le sait, elle s’empresse de sortir et reviens 5 minute plus tard avec un sabre.
« Il y a 4 ans, ton père, à demandé à Muramasa Sengo, le forgeron japonais, de lui crée une arme aussi puissante que maniable. Il y a 2 ans il a reçu la visite de cet homme, tu dois t’en souvenir normalement.
-Oui je m’en souviens, père m’a aussitôt dit d’allez dans ma chambre.
-Je le comprends, ce sabre ne peut appartenir qu’à une seule personne à la fois, une fois dans ta chambre, il ne restait que ton père et Muramasa. Il est le forgeron, le sabre, le lui appartient pas vraiment, ton père ouvrit le paquet et découvrit le sabre Muramasa. Il m’a raconté qu’une lumière là inondée de l’intérieur, une puissance jamais connu. Il y a 2 semaines, il me l’a confié. Il devait savoir qu’il se tramait quelque chose. Il m’a dit de ne pas l’ouvrir, quelle appartenait à son fils.
-Un sabre ? Pour moi, je me lève pour la prendre mais Esla s’y opposa.
-Ce sabre se mérite, ainsi il m’a laissé cinq épreuves à te faire passer. Réussi les, et tu pourras la prendre.
-Quels sont-elles ? Ces épreuves.
-Commençons par le commencement. Tu dois prêter serment au nom de la confrérie et je t’enseignerai les bases du maniement du sabre, vois tu, j’ai aussi un sabre, pas aussi puissant que le tien mais suffisamment pour tuer.
-C’est la première épreuve ?
-Non les épreuves t’attendent à Masyaf. Nous avons 1 mois et 1 semaine pour te perfectionner, on va commencer avec ces boken, sabre en bois.
-Bien dans ce cas commençons par le commencement. »
Rome, 1503.Château Saint-Ange
Combien de mois sont passé depuis mon emprisonnement? A la limite je m’en fiche, aujourd’hui je m’évade. Leonardo. Je viens à toi. Je dois voir la pomme. Cesare s’est bel et bien évadé et à relancer son offensive. Il marche droit vers Viana. Aujourd’hui un nouveau prisonnier est transférer dans ma cellule. Ca sera le moment où jamais, de partir. Il ne devrait plus tarder à présent, d’ailleurs, j’entends des pas approchant. Qu’entends-je ? Une petite fille ? Jusqu’où iront-ils ? Ils entrent enfin. Mais ? C’est Otsuru !! La fille de Takezo.
« Salut Ezio ! Dit un garde, les rats ne seront plus ton uniques compagnie à présent. Hahahaha.
-Tu t’en prends aux petites filles maintenant ? Je ne pensai pas que tu descendrais aussi bas Don Motelsh.
- J’aurai bien aimé attraper son frère aussi mais il s’est fait sauver par des amis à toi je suppose. Des français !! Tu tombe bien bas.
- Il faut rester ouvert d’esprit, s’ouvrir au monde extérieur. Qui a-t-il ? Tu as peur des gens ? C’est mignon !!
- Mais qu’est ce que vous avez tous à me critiquer !! cria-t-il. Ce jeune Taka aussi avait une grand bouche, mais il a détalé une fois mon épée sortit.
-Laisse moi deviner, il n’avait pas d’arme c’est ça ? Quel triomphe, je t’applaudis. En plus il t’a échappé.
-Messieurs, jeter la moi au trou, et fait taire cet énergumène. Je m’en vais rejoindre Cesare à Viana. Je n’aimerai pas qu’il commence les festivités sans moi. »
Don Motelsh est parti, il y a quatre garde qui rentre dans la pièce et deux dehors le dos tourné, il faut que je fasse vite. Le garde de droite tente de me frapper au crâne, je l’esquive, je bloque son bras, Crac ! Son coude s’est déboité, je me saisi de sa lame et je tue les deux autres gardes qui viennent vers moi. La gorge coupé le sang se répand à une vitesse folle. Le dernier tente de sortir avant que les autres gardes ne ferment la porte.Vite. Je me faufile entre le garde et la porte et je la referme sur la tête du garde. L’un m’entaille le bras superficiellement, je ne puis espérer mieux. J’attrape le garde le plus proche car le deuxième tente de me tirer dessus. Vieil enchainement qui marche toujours autant. Le troisième est toujours sonné à cause de la porte, tant mieux il ne faut pas trop compliquer les choses. Je prends un couteau dans la poche de celui que je tien et le lance sur le tireur. Il esquive et s’apprête à appeler du renfort. Non il ne faut pas !! Tant pis pour l’épée, je la lance sur le garde. Il s’effondre sous la douleur de la lame transperçant la gorge. Il me reste encore celui que je tien, son cou n’était pas très flexible j’eu du mal à le faire craquer. Le dernier se réveil, mais d’une courte durée, je le renvoi dans la cellule a coup de pied. Otsuru. Mince, elle n’aurait jamais du voir cela. Mais.. ? Instinctivement elle a fermé les yeux. Elle est très courageuse. Je la prends avec moi, je dois partir, l’évasion commence. Je me souviens vaguement des couloirs, mais mon instinct est excellent. Enfin était. Je rentre dans le hall juste après les cellules. Il y a un escalier en colimaçon, je me souviens y être passé lorsque je sauvais Catherina. Des gardes arrivent, ne tentons pas l’impossible. Ils sont trop prêt ils ne vont pas tarder à s’apercevoir de ma présence. Otsuru ? Que fait-elle, que me montre-t-elle ? Son doigt m’indique le plafond. Qu’est ce donc ? Une fresque ? Non attend, je dois utiliser ma vision d’aigle. C’est une trappe ? Comment le sait-elle ? S’en ai presque insensé !! Soit, je vais passer par là en escaladant. Ils s’en vont continuer leurs rondes. Comment vais-je pouvoir passer par cette trappe ? C’est théoriquement infaisable. Là je vois de quoi grimper. C’est parti, Otsuru s’accroche fort sur mes épaules et c’est partit. La porte s’ouvre, comme par enchantement. Je m’en étonne deux secondes, mais je n’ai pas le temps je rentre. Il fait noir, je crois être dans un conduit d’air. Un conduit d’aération ? Pourquoi faire ? Les gens ont de ses idées je vous jure. Je marche pendant environ une minute. AAAaaahhh, je tombe… non plutôt je glisse, c’est une glissade interminable dans le noir, où vais-je atterrir ? Plouf !! Je suis dans l’eau. Dehors. Je suis, dehors. Enfin. Il y a plein de détritus à cet endroit. Mais !!! C’est mon gant d’assassin. Que fait t’il ici ? Tout arrive si simplement depuis qu’elle est avec moi, s’en est fou. Elle tente de parler : « T’o beau gant. » Oui c’est sur c’est un très beau gant. Je nage, en pleine nuit c’est facile de ne pas me faire repérer. J’atteins enfin la forêt. Pas une seconde à perdre je dois trouver un cheval et des armes. Mais d’abords je dois confier Otsuru à la rose fleurie.
Aah…aah…ah. Elle se défend bien, Esla. Je ne suis pas arrivé à la toucher une seule fois depuis 2 jours. Qu’est ce qu’il me manque, j’arrive pourtant à voir sa lame s’abattre, mais impossible de l’éviter. Même pour parer, je ne puis réagir à tant. Il faut que je m’entraîne, me muscle, et que j’apprenne le Kendo. Du kendo … pour un assassin, je n’en ai jamais entendu parler. Enfin … pour ce que je sais des assassins. La question m’interpelle.
« Mon père faisait il du Kendo ?
-Ton père ? Bien sur que oui. Vous venez du Japon. Ils maitrisent toutes les sortes de combats japonais.
-Alors comment s’est il fait avoir s’il est si fort ?
-Ca, je n’en ai aucune idée. Mais la Volpe à des ressources, ce n’est pas un débutant. Il était plus fort qu’Ezio à une époque. Mais son potentiel se stagne, Pas celui d’Ezio.
- … dans ce cas, arrêtons-nous Au Pirée. Si je dois devenir plus fort alors il faut prendre deux passagers de plus.
- Qui sont-ils ?
- Ce sont des cousins à moi. Enfin je crois. Ils venaient souvent rendre visite à mon père. Tout ce que je sais c’est qu’on les surnomme « Un » et « deux », allez savoir pourquoi.
-Etrange. Que ton père ne m’en a jamais parlé. Sont-ils digne de confiance.
- Ce sont des ninjas. Je pensai que mon père avait besoin de protection. Pourquoi ,je ne sais pas mais... j’ai deux trois question à leurs poser. »
Oui je dois les voir.
Je sors de la rose fleurie. Elle est en sécurité maintenant. Sans Claudia, les forces se sont amoindries. Je dois en finir avec ces Borgia. D’après les informations, Léonardo serait reparti à Venise, tant pis. Il faut que j’envoie un message à Esla Duval, elle doit être avec Taka. Il ne faut surtout pas qu’il s’arrête à Athènes. Les gardes l’attendent. Bien. En route pour Viana.