Note de la fic : 
Quand amité devient sexfriend...
Par : Terton
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 9
Publié le 06/06/2012 à 17:15:44 par Terton
-... On est lààààààààààà !
Emeline : Meeerde, mes parents !
Moi : Comment ça "tes parents" ? Mais t'avais dis qu'ils rentreraient que plus tards !
Emeline : Oui bah ils ont du rentrer plus tôt ! Habille toi !
Moi : Ah oui toi, donc je sors d'ici et je me trimballe à pwal dans la maison avec tes parents dedans
?
Emeline : Tant pis, je les entends monter ! Anh meeerde ! Planque toi, je veux pas savoir où mais planque toi !
Moi : Planque toi, planque toi, putain je veux bien mais où
("> ?
Emeline : Ils montent les escaliers ! L'armoire, là ! GROUILLE !
J'ai donc été me cacher dans une armoire de 1.5 mètre de haut et de 1.5 de large, je me demandais ce que je dirais si on me trouvait là
Je pus entendre des bruits :
Maman d'Emeline : (ouvre la porte) Oups désolé Emeline, je ne savais pas si tu étais levé et tu vas pas me croire, mais j'ai trouvé un préservatif à terre ! Encore heureux, il n'avait pas servit... le chien jouait avec("> ! Je parie que c'est encore ton père, il va m'entendre celui là !
Emeline : Heu... oui c'est ça maman, il doit etre en bas, va donc le rejoindre
Bon, moi là j'étais déjà en train de me marrer, déjà rien qu'au fait qu'elle pense que c'est le préservatif du père, mais en plus de l'utilisation du mot "encore". Bon c'est pas tout ça mais faut que je pense à prendre des jeans aux poches moins courtes 
J'entendis un bruit sourd, puis Emeline m'ouvrit et me tira hors de là en me suggèrant de me grouiller sous peine d'avoir la honte de ma vie
Elle sortit la premiere, me fit signe d'avancer et nous traversâmes le loooong couloir, nus comme des vers
.
Une fois dans la chambre, ni une ni deux, on se rhabilla. Je la prévenus qu'il était surement temps que je rentre chez moi. Nous avions biens rit en imaginant sa tête au moment de voir ce que le chien avait dans sa gueule
Nous nous sommes embrassés de pendant un long moment, elle ne voulait plus me laisser partire ! Mais fallait bien que j'y aille, malheureusement...
Je descendis donc les escaliers, essayant de faire le moin de bruit possible, tournai la clef de la porte, doucement, tout douuuucement, et au moment où j'ouvris la porte, quelle ne fut pas ma surprise de découvrire une femme devant la porte, un paquet de journaux à la main, et visiblement aussi étonnée que moi
Emeline : Oh merde, ma mère...
Emeline : Meeerde, mes parents !
Moi : Comment ça "tes parents" ? Mais t'avais dis qu'ils rentreraient que plus tards !
Emeline : Oui bah ils ont du rentrer plus tôt ! Habille toi !
Moi : Ah oui toi, donc je sors d'ici et je me trimballe à pwal dans la maison avec tes parents dedans
?Emeline : Tant pis, je les entends monter ! Anh meeerde ! Planque toi, je veux pas savoir où mais planque toi !
Moi : Planque toi, planque toi, putain je veux bien mais où
("> ?Emeline : Ils montent les escaliers ! L'armoire, là ! GROUILLE !
J'ai donc été me cacher dans une armoire de 1.5 mètre de haut et de 1.5 de large, je me demandais ce que je dirais si on me trouvait là
Je pus entendre des bruits :
Maman d'Emeline : (ouvre la porte) Oups désolé Emeline, je ne savais pas si tu étais levé et tu vas pas me croire, mais j'ai trouvé un préservatif à terre ! Encore heureux, il n'avait pas servit... le chien jouait avec
("> ! Je parie que c'est encore ton père, il va m'entendre celui là !Emeline : Heu... oui c'est ça maman, il doit etre en bas, va donc le rejoindre
Bon, moi là j'étais déjà en train de me marrer, déjà rien qu'au fait qu'elle pense que c'est le préservatif du père, mais en plus de l'utilisation du mot "encore"
. Bon c'est pas tout ça mais faut que je pense à prendre des jeans aux poches moins courtes J'entendis un bruit sourd, puis Emeline m'ouvrit et me tira hors de là en me suggèrant de me grouiller sous peine d'avoir la honte de ma vie
Elle sortit la premiere, me fit signe d'avancer et nous traversâmes le loooong couloir, nus comme des vers
.Une fois dans la chambre, ni une ni deux, on se rhabilla. Je la prévenus qu'il était surement temps que je rentre chez moi. Nous avions biens rit en imaginant sa tête au moment de voir ce que le chien avait dans sa gueule
Nous nous sommes embrassés de pendant un long moment, elle ne voulait plus me laisser partire ! Mais fallait bien que j'y aille, malheureusement...
Je descendis donc les escaliers, essayant de faire le moin de bruit possible, tournai la clef de la porte, doucement, tout douuuucement
, et au moment où j'ouvris la porte, quelle ne fut pas ma surprise de découvrire une femme devant la porte, un paquet de journaux à la main, et visiblement aussi étonnée que moi Emeline : Oh merde, ma mère...