On à passer notre aprem à pousser de la fonte. Lui ne connaissait pas grand chose, mais moi qui avait déjà une certaine expérience dans le domaine je lui ai montrer comment faire. Sur le moment j'ai même oublié Sarah, je n'avais qu'une envie, c'était de devenir plus fort, devenir un monstre (Ce qui à toujours été mon objectif d'ailleurs). La pratique de ce sport m'a toujours permis d'oublier tout ce qui se trouvait autour de moi. A l'entraînement, il n'y à que moi qui compte, moi et moi seul. Mais bien sur cette volonté fut rattraper par le destin. Je ne pouvais m'empêcher de penser à cette beauté que j'avais rencontré le matin même.

Léandre : Alors, tu l'aimes bien Sarah ?

Moi : Ouai ça va elle est plutôt sympa.

Léandre : Maaaan stop mentir ! Tu la dévores des yeux, t'as jamais vu une fille comme elle je suis sûr

Moi : Non c'est vrai, elle est trop belle. D'ailleurs pendant que j'y pense elle nous à invités demain soir à une soirée en ville.

Léandre: Ah bon ? Elle t'as envoyé un message ?

Moi : Ouai poto, elle m'a dit qu'on pourrait y aller avec ma voiture si c'était possible.

Léandre: Bon ok pourquoi pas...

Moi : Tu n'as pas l'air dans ton assiette ? Ça va ?

Léandre : Boarf tu sais, les gens de la ville ne nous aime pas trop ici, je crois qu'ils ont peur.

Moi : Peur Peur de quoi ?

Léandre : En fait ce n'est qu'une vieille légende bien sur, mais j'ai entendu il y à de cela plusieurs années que des rituels sanglant étaient pratiquées ici. Mais sa date d'environ 500 ans cette histoire. Je ne m'y suis jamais vraiment intéressé en fait... Et puis je ne sais même pas si cette histoire et vrai.

Moi : Ah bon ? C'est étrange quand même...

Léandre n'eut pas le temps de parler que son grand père nous appelait déjà pour manger le dîner.

Après manger, on discuta longuement sur cette histoire de rituels, et aussi sur sarah. J'appris qu'elle avait déjà eu plusieurs copains en ville.

On finis tout deux par s'endormir profondément.

Cette nuit fut tourmenté. Mes yeux s'ouvrirent.
La pièce était entouré d'une lueur rouge. Léandre n'était pas dans son lit. Au milieu de la pièce se trouvait Sarah, entouré d'une simple serviette. Elle me fit un clin d'oeil, se retourna pour que je ne puisse la voir que de dos.

Sa serviette tomba.

Je pouvais voir ses courbes avantageuses. Elle marchait en direction de la porte. Soudain, une envie folle de l'embrasser m'envahis. Je me levais et marchait moi aussi dans sa direction pour la rattraper.

Léandre éternua. Je me réveillais en sursaut, nu dans la chambre. J'étais debout, devant la fenêtre, qui était ouverte.

Léandre : Putain mec tu déconnes, ferme la fenêtre sérieux... Il fait trop froid...

Que c'était t-il passé ?...