Note de la fic :
Publié le 18/03/2012 à 20:03:51 par Cole
Deux semaines plus tard, dans le TGV en direction de Rennes...
Après m'être arrangé avec mes parents et ceux de Marie, j'ai décidé d'entamer les retrouvailles. Après les derniers événements, il était plus sage de nous voir Marie et moi, afin de comprendre ce qui nous est arrivés.
Le voyage est calme, le paysage est agréable à voir, je suis à côté de la fenêtre, il fait beau, le vert illumine ma vue, des villages de temps à autre, une jolie vue quoiqu'un peu rapide. A ma droite, une jeune fille, brune, écouteurs aux oreilles en train d'écoutée du rock de ce que j'arrive à entendre.
Elle tourne les yeux vers moi, je la trouve vachement mignonne alors je commence à sourire et elle se met à rougir et tourne la tête en direction du fauteuil devant elle, elle doit être timide.
Soudain, une annonce radio :
-Mesdames et messieurs, nous arrivons bientôt à la gare de Rennes, veuillez vérifier que vous avez toute vos affaires sur vous.
-Enfin arrivé dis-je à ma voisine.
-Oui... tout à fait...
-N'ayez pas peur, je vais ne pas vous manger.
Tout en la regardant dans les yeux, je me dis qu'elle est vachement bien foutue quand même, une ravissante jeune fille qui doit avoir seize, dix-sept ans, comme moi.
-J'ai dix-sept ans exactement me dit-elle.
-Pardon ?
-Désolé... oubliez ce que je viens de dire.
Je ne rêve pas ? J'ai pensé à voix haute ou quoi ?
Pas le temps de réfléchir, le train entre à la gare de Rennes.
Je me lève donc en même temps que la fille et je l'aide à descendre sa valise mais comme un con, je la fais tomber et je commence à me dire que j'ai dû casser des objets des trucs dedans, merde...
-Vous n’inquiétez pas, il y a rien de fragile là-dedans.
-Excusez-moi de la question mais vous lisez dans mes pensées ou... ?
Elle se met à avoir un rire niais et me répond :
-Si je vous le dis, vous me croirez pas alors à quoi bon ?
Tout en se dirigeant à ses côtés jusqu'à la sortie du wagon, je lui dis :
-Vous n'êtes pas la seule à avoir un pouvoir alors.
-Vous êtes sérieux quand vous dites ça ?
-Tout à fait.
On descend du wagon et on se dirige vers les TER qui doivent nous menés à nos destinations respective et par chance, elle prend le même que le mien. Une fois installé dans le TER, elle me demande :
-Et vous, quel est votre pouvoir ?
-Je ne pense pas qu'en vous l'expliquant, vous me fassiez confiance, il faudrait que je vous le montre en action bien qu'il soit dangereux à l'usage.
-Il est si dévastateur que ça me demanda-t-elle.
-Vous vous souvenez de l'incident qui a eu lieu en Seine Saint-Denis, à Pantin avec le gymnase qui s'est effondré et les deux tremblements de terre atteignant 8 à l'échelle de Richter ?
-J'ai vu ça aux informations.
-On va dire que je suis concerné par ces histoires...
Elle me regarde avec des grands yeux, à la fois étonnée et impressionnée :
-Au faite, moi c'est Kad, ravi de faire votre connaissance.
-Je m'appelle Julie, enchantée.
Enfin je vais arrêter de la vouvoyer, c'est que ça commençait à être chiant quoi. Le trajet passe et elle me raconte d'où elle vient, du 15ème arrondissement de Paris, elle est issue d'une famille aisé et qu'elle est venue en Bretagne voir une amie à elle pour des raisons qu'elle n'a pas voulu me dire.
Le trajet passe rapidement et on arrive à Montreuil, il est 14H00 à ma montre, Marie doit être là en train de m'attendre avec son père, le soleil est resplendissant bizarrement ici.
-On se revoit prochainement j'espère Kad.
Je lui réponds en pensant espérer la revoir également et elle me répond avec un sourire.
Une fois sortie du TER, elle part de son côté et moi je pars en direction de Marie et de son père.
Je fais la bise à Marie, ça fait longtemps quand même que je ne l'ai pas vus et elle a pas changée à ce que je vois puis je salue son père, avec lequel j'ai mis du temps à gagner le respect.
J'entame la conversation avec Marie :
-T'es contente de me voir à ce que je vois lui fis-je remarqué tout en regardant le soleil.
-Faut croire que ouais, ça fais un bail quand même.
Montreuil, c'est un peu la ville paumé bien calme avec pas mal de vieux, une ville agréable quoi pour passer des « vacances ».
Le trajet passe rapidement en voiture, en deux/deux on est chez Marie et je salue sa mère, une femme charmante et son petit frère, un petit geek. Il habite une jolie maison, jardin avec étage et garage, ce dont je rêve quoi.
Je pose mes valises à l'étage dans sa chambre et m'assoit sur le lit :
-Tu ne devineras jamais.
-Raconte-moi tout.
-On n’est pas les seuls.
-Ah me dit-elle d'un air surpris.
-Non, figure-toi que la fille avec qui je tapé la discute durant tout le trajet de Paris jusqu'ici a un pouvoir et devine lequel.
-Je n’aime pas les devinettes.
-Elle peut lire dans nos pensées !
-En gros, faut faire gaffe à ce qu'on pense avec elle constamment, ça va être chiant...
-Je te le fais pas dire mais elle est super sympa.
La soirée passe, on décide de jouer à la Xbox avec le p'tit frère en attendant le repas puis après le repas, de sortir dehors histoire de montrer nos pouvoirs en action.
Durant la partie de Gears of War 3, elle me dit :
-Ça fait quoi de pouvoir détruire le monde ?
-Je te retourne la question, tu en es capable aussi hein.
On commence à rigoler sous les yeux du petit frère qui ne comprend absolument rien. On sait pertinemment bien qu'on doit vite apprendre à contrôler nos pouvoirs sinon ça pourrait nous causer des problèmes et on l'a bien vu.
Le repas arrive, on mange bien, en même temps, c'est la mère de Marie qui fais la bouffe, faut pas oublier et on sort dehors faire un tour du côté d'un bâtiment d'entrepôt abandonné.
-Montre-moi ce dont tu es capable.
Il doit être 22H00, je m'approche d'un mur grand, très grand et tout en me concentrant, je lâche un coup de poing dans celui-ci.
Comme la dernière fois, mon poing se bloque et l'air se met à fissuré, je crie à Marie :
-Va te mettre à l’abri !!
Elle s'exécute et je la rejoins aussi sec puis explosion du mur après le brisement de l'air suite aux fissures.
-Je t'enverrais détruire mon lycée un de ces quatre.
-A toi maintenant et vite, on a dû attirer l'attention.
-Reste loin de moi.
Elle se place sous les étoiles et lève les bras, puis comme moi, commence à forcer en serrant des poings.
Pendant quelques minutes, rien puis je sens quelque chose tomber sur ma tête. Je ne rêve pas, c'est des flocons de neige, elle a fait tomber la neige.
-Matte le ciel maintenant.
Je commence à regarder en l'air et je suis bluffé, elle a réussie à écrire Kad avec des millions de flocons de neige assemblé et suspendu au-dessus de Montreuil, c'est tout simplement grandiose.
-Maintenant on rentre, faut ne pas trop tarder ici.
-Je te suis.
Après m'être arrangé avec mes parents et ceux de Marie, j'ai décidé d'entamer les retrouvailles. Après les derniers événements, il était plus sage de nous voir Marie et moi, afin de comprendre ce qui nous est arrivés.
Le voyage est calme, le paysage est agréable à voir, je suis à côté de la fenêtre, il fait beau, le vert illumine ma vue, des villages de temps à autre, une jolie vue quoiqu'un peu rapide. A ma droite, une jeune fille, brune, écouteurs aux oreilles en train d'écoutée du rock de ce que j'arrive à entendre.
Elle tourne les yeux vers moi, je la trouve vachement mignonne alors je commence à sourire et elle se met à rougir et tourne la tête en direction du fauteuil devant elle, elle doit être timide.
Soudain, une annonce radio :
-Mesdames et messieurs, nous arrivons bientôt à la gare de Rennes, veuillez vérifier que vous avez toute vos affaires sur vous.
-Enfin arrivé dis-je à ma voisine.
-Oui... tout à fait...
-N'ayez pas peur, je vais ne pas vous manger.
Tout en la regardant dans les yeux, je me dis qu'elle est vachement bien foutue quand même, une ravissante jeune fille qui doit avoir seize, dix-sept ans, comme moi.
-J'ai dix-sept ans exactement me dit-elle.
-Pardon ?
-Désolé... oubliez ce que je viens de dire.
Je ne rêve pas ? J'ai pensé à voix haute ou quoi ?
Pas le temps de réfléchir, le train entre à la gare de Rennes.
Je me lève donc en même temps que la fille et je l'aide à descendre sa valise mais comme un con, je la fais tomber et je commence à me dire que j'ai dû casser des objets des trucs dedans, merde...
-Vous n’inquiétez pas, il y a rien de fragile là-dedans.
-Excusez-moi de la question mais vous lisez dans mes pensées ou... ?
Elle se met à avoir un rire niais et me répond :
-Si je vous le dis, vous me croirez pas alors à quoi bon ?
Tout en se dirigeant à ses côtés jusqu'à la sortie du wagon, je lui dis :
-Vous n'êtes pas la seule à avoir un pouvoir alors.
-Vous êtes sérieux quand vous dites ça ?
-Tout à fait.
On descend du wagon et on se dirige vers les TER qui doivent nous menés à nos destinations respective et par chance, elle prend le même que le mien. Une fois installé dans le TER, elle me demande :
-Et vous, quel est votre pouvoir ?
-Je ne pense pas qu'en vous l'expliquant, vous me fassiez confiance, il faudrait que je vous le montre en action bien qu'il soit dangereux à l'usage.
-Il est si dévastateur que ça me demanda-t-elle.
-Vous vous souvenez de l'incident qui a eu lieu en Seine Saint-Denis, à Pantin avec le gymnase qui s'est effondré et les deux tremblements de terre atteignant 8 à l'échelle de Richter ?
-J'ai vu ça aux informations.
-On va dire que je suis concerné par ces histoires...
Elle me regarde avec des grands yeux, à la fois étonnée et impressionnée :
-Au faite, moi c'est Kad, ravi de faire votre connaissance.
-Je m'appelle Julie, enchantée.
Enfin je vais arrêter de la vouvoyer, c'est que ça commençait à être chiant quoi. Le trajet passe et elle me raconte d'où elle vient, du 15ème arrondissement de Paris, elle est issue d'une famille aisé et qu'elle est venue en Bretagne voir une amie à elle pour des raisons qu'elle n'a pas voulu me dire.
Le trajet passe rapidement et on arrive à Montreuil, il est 14H00 à ma montre, Marie doit être là en train de m'attendre avec son père, le soleil est resplendissant bizarrement ici.
-On se revoit prochainement j'espère Kad.
Je lui réponds en pensant espérer la revoir également et elle me répond avec un sourire.
Une fois sortie du TER, elle part de son côté et moi je pars en direction de Marie et de son père.
Je fais la bise à Marie, ça fait longtemps quand même que je ne l'ai pas vus et elle a pas changée à ce que je vois puis je salue son père, avec lequel j'ai mis du temps à gagner le respect.
J'entame la conversation avec Marie :
-T'es contente de me voir à ce que je vois lui fis-je remarqué tout en regardant le soleil.
-Faut croire que ouais, ça fais un bail quand même.
Montreuil, c'est un peu la ville paumé bien calme avec pas mal de vieux, une ville agréable quoi pour passer des « vacances ».
Le trajet passe rapidement en voiture, en deux/deux on est chez Marie et je salue sa mère, une femme charmante et son petit frère, un petit geek. Il habite une jolie maison, jardin avec étage et garage, ce dont je rêve quoi.
Je pose mes valises à l'étage dans sa chambre et m'assoit sur le lit :
-Tu ne devineras jamais.
-Raconte-moi tout.
-On n’est pas les seuls.
-Ah me dit-elle d'un air surpris.
-Non, figure-toi que la fille avec qui je tapé la discute durant tout le trajet de Paris jusqu'ici a un pouvoir et devine lequel.
-Je n’aime pas les devinettes.
-Elle peut lire dans nos pensées !
-En gros, faut faire gaffe à ce qu'on pense avec elle constamment, ça va être chiant...
-Je te le fais pas dire mais elle est super sympa.
La soirée passe, on décide de jouer à la Xbox avec le p'tit frère en attendant le repas puis après le repas, de sortir dehors histoire de montrer nos pouvoirs en action.
Durant la partie de Gears of War 3, elle me dit :
-Ça fait quoi de pouvoir détruire le monde ?
-Je te retourne la question, tu en es capable aussi hein.
On commence à rigoler sous les yeux du petit frère qui ne comprend absolument rien. On sait pertinemment bien qu'on doit vite apprendre à contrôler nos pouvoirs sinon ça pourrait nous causer des problèmes et on l'a bien vu.
Le repas arrive, on mange bien, en même temps, c'est la mère de Marie qui fais la bouffe, faut pas oublier et on sort dehors faire un tour du côté d'un bâtiment d'entrepôt abandonné.
-Montre-moi ce dont tu es capable.
Il doit être 22H00, je m'approche d'un mur grand, très grand et tout en me concentrant, je lâche un coup de poing dans celui-ci.
Comme la dernière fois, mon poing se bloque et l'air se met à fissuré, je crie à Marie :
-Va te mettre à l’abri !!
Elle s'exécute et je la rejoins aussi sec puis explosion du mur après le brisement de l'air suite aux fissures.
-Je t'enverrais détruire mon lycée un de ces quatre.
-A toi maintenant et vite, on a dû attirer l'attention.
-Reste loin de moi.
Elle se place sous les étoiles et lève les bras, puis comme moi, commence à forcer en serrant des poings.
Pendant quelques minutes, rien puis je sens quelque chose tomber sur ma tête. Je ne rêve pas, c'est des flocons de neige, elle a fait tomber la neige.
-Matte le ciel maintenant.
Je commence à regarder en l'air et je suis bluffé, elle a réussie à écrire Kad avec des millions de flocons de neige assemblé et suspendu au-dessus de Montreuil, c'est tout simplement grandiose.
-Maintenant on rentre, faut ne pas trop tarder ici.
-Je te suis.