Note de la fic : 
Publié le 12/03/2012 à 11:01:34 par Liberty
Pourquoi Kyle avait-il accepté si facilement ? Il n'en savait lui même rien. Il réalisa sa bétise crasse et son manque de volonté une fois façe à sa voiture, où il réalisa qu'il n'avait aucun siège pour enfant adapté. Il en aurait presque oublié l'enfant si celui-çi ne c'étais pas manifesté.
-Je monte où Papa ?
Il se rendit compte qu'il ne connaisait même pas le nom de l'enfant, ni son age et encore moins dans quel école il allait. Tout ce qui c'était passé auparavant lui semblait flou, et il se demanda alors si il n'était pas sous l'emprise d'une drogue quelquonque. Après c'être assuré que non en se pincant fort l'avant bras, il se décida à demander à l'enfant.
-C'est quoi ton nom ?
-Charles.
-Arrète de faire l'idiot et soit sérieux veut-tu. Je suis assez exténué comme ça.
-Mais enfin papa ! Tu a choisis mon nom, tu devrais t'en souvenirs !
-Mettons que j'ai eu un léger accident et que j'ai oublié. Quel et ton nom ?
-Joshua.
-Et bien monte Joshua.
Arrivé à son appartement, Kyle réfléchis sur la possibilité d'élever un enfant dans un tel Capharnaüm. Mais, après tout, si le môme n'était pas content, il n'avait qu'a rester au poste. Kyle s'assit dans son canapé et constata que le gamin avait l'air de connaitre l'appartement comme si il y avait toujours vécu. Le téléphone sonna. “Si c'est encore un enfant secret, je fais un malheur” pensa-il en se relevant. C'étais son meilleur ami, Hank, qui l'invitait à sortir dans la soirée. Kyle répondit poliement qu'il avait d'autres obligations personelles en se gardant bien de cacher à Hank la raison de son absence. Il connaisait Hank depuis qu'ils avaient 12 ans et ils passaient la plupart de leurs temps ensemble. La seule chose qui les empéchaient de se voir 24h sur 24, c'étais la femme de Hank, que Kyle appelait respectueusement “l'enmerdeuse” quand celle-çi empéchait son mari de sortir sous des prétextes divers. Il raccrocha et se décida d'aller voir comment allait son nouveau colocataire, qui était dans une salle ou Kyle entreposait de vieux objets qu'il n'osait pas jeter depuis plusieurs années. Il n'avait pas vraiment l'impression d'avoir accepté un quelquonque acte de paternité, mais plutôt d'avoir accepté un colocataire certes un peu idiot mais fort affecteux. Il ouvrit la porte et trouva le blondinet en larmes au milieu de la pièce.
-Tu a jeté toutes mes affaires, accusa le blondinet entre deux sanglots. Mes jouets, mon lit, il n'y a plus rien !
-Je...
Pour Kyle, depuis son enménagement ici, cette pièce n'avait jamais été autre chose qu'un dépotoire géant ou il entreposait des objets dont il pourrait soit trouver de la valeurs dans quelques années soit qu'il n'osait pas jeter de peur de vexer quelqu'un.
-Bon, eh bien, vient...on va t'acheter deux ou trois trucs, proposa Kyle. Le gamin retrouva immédiatement son sourire.
Kyle dépensait rarement autant d'argent d'un seul coup. C'était un homme organisé, et qui, depuis toujours, avait tendances a ne pas faire d'économies mais à ne jamais faire de dépenses excessive. Il vivait donc avec tout ce dont il avait besoin et sans prblèmes d'argents. Mais la facture de cette après midi s'élevait déjà terriblement. Il avait prit un lit, de multiples jouets, sans parler des multiples glaces qu'il avait acheté à l'enfant. Enfant qu'il appréciait de plus en plus. Certes, il avait tendance à bouger un peu partout mais il était intérésant et intérésé, ce qui plaisait beaucoup à Kyle, qui s'était amusé à lui raconter toute sortes d'anecdotes tout au long de l'après midi. Après avoir non sans peine monté le lit et couché l'enfant, il s'autorisa à boire une bière dans le canapé. Son téléphone sonna. C'étais Hank, qui, d'une voix larmoyante, lui annonca que lui et sa femme venaient de rompre. Kyle, en bon ami, se proposa de passer le voir demain après le travail à l'appartement qui appartenait aux parents de Hank et qu'il allait réquisitionner pour la nuit. Il fit bien en sorte d'ommetre de parler de l'enfant, il ne voulait ennuyer Hank avec ces problèmes personels alors que son amis avait déjà les siens. Il raccrocha et s'endormit en regardant la télévision.
La semaine passa fort rapidement. Kyle s'habituait bien à son nouveau locataire. Il c'était surpris à l'appeler "Fils" de temps en temps. En contrepartie, Kyle réalisa le samedi soir qu'il avait quelque peu négligé ces obligations profesionelles. En effet, Kyle avait le poste très glorieux de directeur de supermarché, un travail pas vraiment érintant mais qui nécessitait quand même un peu de temps. Il s'appecut qu'il avait baclé nombres de dossiers et plus ou moins inconsciemment évité quelques clients. Il déculpabilisa rapidement en ce disant qu'après tout, quelques erreurs au travail valaient largement le bonheur de son fils. Il s'assit, comme à son habitude dans son canapé après avoir décapsulé une bière pour regarder un DVD. Il avait remplacé sa sale habitude d'aller au bistrot du coin le soir avec ces amis et avait décidé d'améliorer sa culture cinématographique. Malheureusement pour lui, son téléphone sonna, juste après la scène d'introduction. C'était Lisa, la femme de Hank dont il avait le numéro car Lisa l'appelait souvent quand Hank n'était pas rentré avant 22h. Enervé d'être dérangé, non seulement pendant son film mais en plus par quelqu'un qu'il n'aimait pas, il lacha un morne "Qu'est ce que tu veut ?". Pas de réponse. Juste des bruits plus ou moins humide. "Allo ?". "C'est Hank" répondit la voix avant de fondre en larmes.
Kyle avait réussi à trouver une nounou et trouvé un costume low-cost. La chambre du petit lui avait couté un bras et il ne voulait, comme à son habitude, pas faire de dépenses inutiles. L'atmosphère était triste, "ce qui était normal pour un enterrement" pensa-il. L'église était froide. Kyle aimait les églises, bien qu'il détesta la religion. Son père, anti-religieux pur souche, disait souvent que "La religion, c'est pour les gens pas foutu de comprendres les sciences". Il n'aurait pas suspecté que c'est la science qu'il l'aurait tué à cause d'un médecin incompétent. Sa mère l'avait forcé à faire du catéchisme, et il avait continué juste pour avoir de l'argent lors de la communion. Depuis, il n'avait jamais refoutu les pieds dans une église. Le prètre récita quelques prières. Qui aurait cru qu'Hank était un religieux ? "Surement pas les filles du strip club où Hank trainait quand j'étais absent" pensa Kyle en souriant. Hank allait lui manquer, clairement. Mais, étrangement, il n'était pas triste. Ces pensées étaient omnibulées par le blondinet. Pour se faire pardonner, Kyle se promit mentalement d'inviter Lisa au restaurant, même si il en frissonait à la simple idée. Hank la trouvait belle, Kyle la trouvait grosse. Hank la trouvait drôle, Kyle la trouvait ennuyeuse. "Finalement, on était bien différent" songea-il en sortant de l'église.
Les mois passèrent. Kyle avait désormais totalement adopté son nouveau fils. Il avait proposé à Lisa de sortir à de nombreuses reprises, mais Kyle avait comprit avec le temps qu'il n'était sans doute pas la personne qu'elle désirait le plus voir en ces moments douloureux. Hank ne lui manquait pas énormément. A vrai dire, il n'avait quasiment plus de vrai amis. Etant donné qu'il ne fréquentait plus les bars, nombre de ces amis l'avaient laissé. Quand aux gens de son travail, étant donné ses nombreuses absences, il n'avait plus vraiment le temps de les voirs. Kyle passait désormais la plupart de son temps avec son fils, qu'il adorait. Il lui avait apprit de nombreuses choses et, grâce à lui, il était un des meilleurs de sa classe. L'homme vivait une vie qui lui semblait idylique, car rien ne lui manquait. Mais, ce qui devait arriver arriva, et un triste jour d'hiver, il fut renvoyé. L'argent allait sérieusement commencer à manquer, car l'enfant était devenu au fil du temps un véritable gouffre à argent et à temps. Il ne pouvait plus sortir car Joshua avait besoin d'aide pour ces devoirs. Il ne pouvait pas aller au travail car Joshua voulait jouer, et, bien sur, Kyle ne pouvait dire non. Le gamin laminait des fringues en une journée, devait acheter bon nombres de cahier et effectuait parfois 3 sorties dans des musés alentours par mois. Sans parler de tout les jouets qu'il éxigeait. Et Kyle ne savait pas dire non. Ce gamin avait sur lui une tel influence qu'il était rare qu'il lui refuse quelque chose.
-Je monte où Papa ?
Il se rendit compte qu'il ne connaisait même pas le nom de l'enfant, ni son age et encore moins dans quel école il allait. Tout ce qui c'était passé auparavant lui semblait flou, et il se demanda alors si il n'était pas sous l'emprise d'une drogue quelquonque. Après c'être assuré que non en se pincant fort l'avant bras, il se décida à demander à l'enfant.
-C'est quoi ton nom ?
-Charles.
-Arrète de faire l'idiot et soit sérieux veut-tu. Je suis assez exténué comme ça.
-Mais enfin papa ! Tu a choisis mon nom, tu devrais t'en souvenirs !
-Mettons que j'ai eu un léger accident et que j'ai oublié. Quel et ton nom ?
-Joshua.
-Et bien monte Joshua.
Arrivé à son appartement, Kyle réfléchis sur la possibilité d'élever un enfant dans un tel Capharnaüm. Mais, après tout, si le môme n'était pas content, il n'avait qu'a rester au poste. Kyle s'assit dans son canapé et constata que le gamin avait l'air de connaitre l'appartement comme si il y avait toujours vécu. Le téléphone sonna. “Si c'est encore un enfant secret, je fais un malheur” pensa-il en se relevant. C'étais son meilleur ami, Hank, qui l'invitait à sortir dans la soirée. Kyle répondit poliement qu'il avait d'autres obligations personelles en se gardant bien de cacher à Hank la raison de son absence. Il connaisait Hank depuis qu'ils avaient 12 ans et ils passaient la plupart de leurs temps ensemble. La seule chose qui les empéchaient de se voir 24h sur 24, c'étais la femme de Hank, que Kyle appelait respectueusement “l'enmerdeuse” quand celle-çi empéchait son mari de sortir sous des prétextes divers. Il raccrocha et se décida d'aller voir comment allait son nouveau colocataire, qui était dans une salle ou Kyle entreposait de vieux objets qu'il n'osait pas jeter depuis plusieurs années. Il n'avait pas vraiment l'impression d'avoir accepté un quelquonque acte de paternité, mais plutôt d'avoir accepté un colocataire certes un peu idiot mais fort affecteux. Il ouvrit la porte et trouva le blondinet en larmes au milieu de la pièce.
-Tu a jeté toutes mes affaires, accusa le blondinet entre deux sanglots. Mes jouets, mon lit, il n'y a plus rien !
-Je...
Pour Kyle, depuis son enménagement ici, cette pièce n'avait jamais été autre chose qu'un dépotoire géant ou il entreposait des objets dont il pourrait soit trouver de la valeurs dans quelques années soit qu'il n'osait pas jeter de peur de vexer quelqu'un.
-Bon, eh bien, vient...on va t'acheter deux ou trois trucs, proposa Kyle. Le gamin retrouva immédiatement son sourire.
Kyle dépensait rarement autant d'argent d'un seul coup. C'était un homme organisé, et qui, depuis toujours, avait tendances a ne pas faire d'économies mais à ne jamais faire de dépenses excessive. Il vivait donc avec tout ce dont il avait besoin et sans prblèmes d'argents. Mais la facture de cette après midi s'élevait déjà terriblement. Il avait prit un lit, de multiples jouets, sans parler des multiples glaces qu'il avait acheté à l'enfant. Enfant qu'il appréciait de plus en plus. Certes, il avait tendance à bouger un peu partout mais il était intérésant et intérésé, ce qui plaisait beaucoup à Kyle, qui s'était amusé à lui raconter toute sortes d'anecdotes tout au long de l'après midi. Après avoir non sans peine monté le lit et couché l'enfant, il s'autorisa à boire une bière dans le canapé. Son téléphone sonna. C'étais Hank, qui, d'une voix larmoyante, lui annonca que lui et sa femme venaient de rompre. Kyle, en bon ami, se proposa de passer le voir demain après le travail à l'appartement qui appartenait aux parents de Hank et qu'il allait réquisitionner pour la nuit. Il fit bien en sorte d'ommetre de parler de l'enfant, il ne voulait ennuyer Hank avec ces problèmes personels alors que son amis avait déjà les siens. Il raccrocha et s'endormit en regardant la télévision.
La semaine passa fort rapidement. Kyle s'habituait bien à son nouveau locataire. Il c'était surpris à l'appeler "Fils" de temps en temps. En contrepartie, Kyle réalisa le samedi soir qu'il avait quelque peu négligé ces obligations profesionelles. En effet, Kyle avait le poste très glorieux de directeur de supermarché, un travail pas vraiment érintant mais qui nécessitait quand même un peu de temps. Il s'appecut qu'il avait baclé nombres de dossiers et plus ou moins inconsciemment évité quelques clients. Il déculpabilisa rapidement en ce disant qu'après tout, quelques erreurs au travail valaient largement le bonheur de son fils. Il s'assit, comme à son habitude dans son canapé après avoir décapsulé une bière pour regarder un DVD. Il avait remplacé sa sale habitude d'aller au bistrot du coin le soir avec ces amis et avait décidé d'améliorer sa culture cinématographique. Malheureusement pour lui, son téléphone sonna, juste après la scène d'introduction. C'était Lisa, la femme de Hank dont il avait le numéro car Lisa l'appelait souvent quand Hank n'était pas rentré avant 22h. Enervé d'être dérangé, non seulement pendant son film mais en plus par quelqu'un qu'il n'aimait pas, il lacha un morne "Qu'est ce que tu veut ?". Pas de réponse. Juste des bruits plus ou moins humide. "Allo ?". "C'est Hank" répondit la voix avant de fondre en larmes.
Kyle avait réussi à trouver une nounou et trouvé un costume low-cost. La chambre du petit lui avait couté un bras et il ne voulait, comme à son habitude, pas faire de dépenses inutiles. L'atmosphère était triste, "ce qui était normal pour un enterrement" pensa-il. L'église était froide. Kyle aimait les églises, bien qu'il détesta la religion. Son père, anti-religieux pur souche, disait souvent que "La religion, c'est pour les gens pas foutu de comprendres les sciences". Il n'aurait pas suspecté que c'est la science qu'il l'aurait tué à cause d'un médecin incompétent. Sa mère l'avait forcé à faire du catéchisme, et il avait continué juste pour avoir de l'argent lors de la communion. Depuis, il n'avait jamais refoutu les pieds dans une église. Le prètre récita quelques prières. Qui aurait cru qu'Hank était un religieux ? "Surement pas les filles du strip club où Hank trainait quand j'étais absent" pensa Kyle en souriant. Hank allait lui manquer, clairement. Mais, étrangement, il n'était pas triste. Ces pensées étaient omnibulées par le blondinet. Pour se faire pardonner, Kyle se promit mentalement d'inviter Lisa au restaurant, même si il en frissonait à la simple idée. Hank la trouvait belle, Kyle la trouvait grosse. Hank la trouvait drôle, Kyle la trouvait ennuyeuse. "Finalement, on était bien différent" songea-il en sortant de l'église.
Les mois passèrent. Kyle avait désormais totalement adopté son nouveau fils. Il avait proposé à Lisa de sortir à de nombreuses reprises, mais Kyle avait comprit avec le temps qu'il n'était sans doute pas la personne qu'elle désirait le plus voir en ces moments douloureux. Hank ne lui manquait pas énormément. A vrai dire, il n'avait quasiment plus de vrai amis. Etant donné qu'il ne fréquentait plus les bars, nombre de ces amis l'avaient laissé. Quand aux gens de son travail, étant donné ses nombreuses absences, il n'avait plus vraiment le temps de les voirs. Kyle passait désormais la plupart de son temps avec son fils, qu'il adorait. Il lui avait apprit de nombreuses choses et, grâce à lui, il était un des meilleurs de sa classe. L'homme vivait une vie qui lui semblait idylique, car rien ne lui manquait. Mais, ce qui devait arriver arriva, et un triste jour d'hiver, il fut renvoyé. L'argent allait sérieusement commencer à manquer, car l'enfant était devenu au fil du temps un véritable gouffre à argent et à temps. Il ne pouvait plus sortir car Joshua avait besoin d'aide pour ces devoirs. Il ne pouvait pas aller au travail car Joshua voulait jouer, et, bien sur, Kyle ne pouvait dire non. Le gamin laminait des fringues en une journée, devait acheter bon nombres de cahier et effectuait parfois 3 sorties dans des musés alentours par mois. Sans parler de tout les jouets qu'il éxigeait. Et Kyle ne savait pas dire non. Ce gamin avait sur lui une tel influence qu'il était rare qu'il lui refuse quelque chose.