Note de la fic :
Publié le 07/03/2012 à 11:28:46 par Peace
Dans la lumière déclinante
D'une longue journée d'été,
Dans l'atmosphère apaisante,
Ou je me pris à rêvasser;
Le fin ruisseau qui y coulait,
A l'eau pure comme l'éther,
En torrent fut enchanté,
Arrachant sous mes pieds la terre.
Seul au milieu de la vague,
L'ève claire à travers moi,
M'apparut comme une vérité vague,
Me remplissant soudain d'émoi.
Englouti par chevaux de Neptune,
Néréides faites d'Azur,
Des pensées imprécises,
M'emmenaient vers un horizon plus sur.
Un monde nouveau et solitaire,
Ou se dissipaient les brumes,
Ou se mêlaient terre et mer,
Dans un air aussi léger que plumes.
Devant mes yeux grands ouverts,
Se dessinait une réponse,
Dans une pluie de lumière,
Qui écartait un chemin de ronces.
La Vérité mise à nu,
Claire, sans afficher voile,
Exaltée, portée aux nues,
Comme peinte sur une toile.
Emporté dans un abîme,
De mots inconnus en tourbillon,
De longs songes sublimes,
De rêveries en millions.
Un sentiment de plénitude,
De souvenirs et de futur,
Tombés en désuétude,
De nos mânes et lémures.
Puis mon voyage prit fin,
Réveillé par la douce clarté,
Dans l'eau du ruisseau, fin,
Reflétant le soleil qui se levait.
D'une longue journée d'été,
Dans l'atmosphère apaisante,
Ou je me pris à rêvasser;
Le fin ruisseau qui y coulait,
A l'eau pure comme l'éther,
En torrent fut enchanté,
Arrachant sous mes pieds la terre.
Seul au milieu de la vague,
L'ève claire à travers moi,
M'apparut comme une vérité vague,
Me remplissant soudain d'émoi.
Englouti par chevaux de Neptune,
Néréides faites d'Azur,
Des pensées imprécises,
M'emmenaient vers un horizon plus sur.
Un monde nouveau et solitaire,
Ou se dissipaient les brumes,
Ou se mêlaient terre et mer,
Dans un air aussi léger que plumes.
Devant mes yeux grands ouverts,
Se dessinait une réponse,
Dans une pluie de lumière,
Qui écartait un chemin de ronces.
La Vérité mise à nu,
Claire, sans afficher voile,
Exaltée, portée aux nues,
Comme peinte sur une toile.
Emporté dans un abîme,
De mots inconnus en tourbillon,
De longs songes sublimes,
De rêveries en millions.
Un sentiment de plénitude,
De souvenirs et de futur,
Tombés en désuétude,
De nos mânes et lémures.
Puis mon voyage prit fin,
Réveillé par la douce clarté,
Dans l'eau du ruisseau, fin,
Reflétant le soleil qui se levait.