Je me révaillai sur une table d'opération, ligoté. Un homme, qui portait le bonnet rouge aussi bien que la moustache me fixait avec un regard sadique.
-On se réveille enfin, petite racl'
-
- ?
-
-Arrete avec ce sourire niais, tu veux !
- Onche, non !
Il me gifla.


-Écoute, sale racl, tu sais pourquoi tu es ici ? Tu sais pourquoi nous sommes venu te chercher ? Tu sais pourquoi tu es attaché ?
-KOM JE ME REUBAYL

Ca, pour me rebeller, je me rebellais....

Un peu plus tot dans l'apres-midi, tandis que je buvai un thé, les hommes de la Brigade étaient venus me chercher. J'avais refusé de coopérer. Ca n'allait pas arranger mon cas.
Les agents de la Brigade avaient défoncé la porte de ma chambre, et m'avaient vu, seul dans mon coin, avec une bouteile de panachay que j'avais rempli de thé.

-KOM JE BWA MON T , avais-je hurlé, tandis qu'un des homme sorti une carabide..
-Pose ca ou je tire !
-KOM J'ESSUIE DECONTRAKT !
Un agent s’approcha de moi, et me tendis la main en me disant :
-Pose cette bouteille, soit raisonnable, gamin.
Puis, empli d'effroi en voyant que la bouteille avait été remplie d'un breuvage qu'il jugeait impie, il recula en hurlant " par Noël !".
. J'en profitai pour lui jeter mon sachet de T usagé à la figure et le frapper avec la bouteille.
-HAPOWA, hurlais-je, tandis qu'un fléchette anesthésiante sorti du canon d'un des agents et vint se ficher dans mon bras.
J'avais vu les ténebres se raprocher de moi.

Et je me réveillai ici, sanglé.
-Tu va subir une rééducation, afin que la folie Hapiste qui t'a prise ne se propage pas dans la population, m'apris le docteur.
Mais j'allais résister.
Je lanca un sourire majestueux de a mon bourreau, qui me planta une serringue dans le bras.
-Tu es encore un peu nerveux, mais d'ici quelques jours, tu sera beaucoup plus coopératif...

Puis, tandis que de rouges ténebres éclatantes entourait mon fol esprit raisonné (Bien le double oxymore en chiasmes ? ), mon bourreau sorti en me lancant

-Dans le cas contraire, on va beaucoup s'amuser tous les deux ...