Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

L'amour n'est que tromperie


Par : MrLasfatal
Genre : Sentimental
Statut : Abandonnée



Chapitre 7 : Les bras console chaque dispute.


Publié le 10/01/2012 à 22:35:16 par MrLasfatal

Caroline


J’ai beau être en colère contre lui, ça ne veut pas dire que je ne l’aime plus…
Je n’aurais pas dû céder à la colère, j’aurais dû lui faire confiance, comme avant…
Avant de l’envoyer boulet pour rien.
J’espère qu’il vivra heureux avec Mélodie, ils le méritent, m’enfin.
Je veux juste le revoir une fois, juste une fois.

Jeremy


Je n’abandonnerais jamais, je l’aime, elle m’aime, alors pourquoi l’oublier.
D’accords, j’ai tendance à tout foutre en l’air, mais, je ne veux pas que ça finisse ainsi, pas après ce qu’on a vécu, pas après tout l’amour que je lui ai donné.
Qu’elle me croie ou non, je m’en fou, je l’aime, et je fonce la voir dès demain matin.


Mélodie

Je suis juste une grosse conne.
Tomber amoureuse d’un mec comme ça en si peu de temps…
Mais il est si parfait, si beau, si drôle…
Je l’aime.
Et puis pour Caroline, comment est-ce possible ?
Pourquoi ma mère ne ma riens dis ?
Je dois le savoir.

Quand j’ai appris que Jeremy était amoureux d’elle, je me suis senti trahi pour la première fois de ma vie. C’est sans doute pour cela qu’il m’aime temps, je dois ressembler à Caroline. Puis cette fille est une cousine géniale, je ne pourrais pas lui faire de mal, alors que ça ne fait que deux jours que je la connais.


Jeremy


Il est 23h, et je suis là, au plein milieu de ma rue, seul, dans le noir, j’ai froid, mais je dois le faire.
Je rentre dans le train, direction l’internat.
A quoi ça sert, de toute façon je n’arriverais pas à y rentrer.

2h plus tard, j’étais devant cette grande porte, une porte en bois, d’au moins 3 mètres.
J’ai frappé tellement fort sur cette porte que j’ai cru que j’allais m’exploser les mains, de plus, j’étais en pleur.
Mais toujours personne, personne pour ouvrir cette saleté de porte.
Je me suis mis à faire le tour de ce bâtiment gigantesque, puis, je me suis mis à crier son nom…
« Caroline ! »
Et une vois familière me répondit :
Jeremy, je suis là.
Je l’entendis par le trou d’une petite fenêtre, elle était là, à me regarder…
Retourne à la porte, que je t’ouvre.
Une fois à l’intérieur, je ne pus m’empêcher de la prendre dans mes bras, et de l’embrasser, encore et encore.
Elle me regarda, avec ses yeux si magnifiques, mais mouillés par ses larmes.
« Suit moi. »
Nous sommes rentrés dans sa chambre, la lumière éteinte.


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