Note de la fic :
Le Dragon Des Temps Modernes
Par : yann-r
Genre : Fantastique
Statut : Terminée
Chapitre 12 : 10 Une survie pour divulguer des secrets
Publié le 17/05/2011 à 22:48:29 par yann-r
Lundi 12 juillet – vers 10 heures
Etienne a réussi à avoir congé aujourd’hui. L’enquête n’avance pas et ça na pas l’air d’inquiéter le chef de l’opération. Il a essayé de contacter l’ingénieur mais il tombe sur son répondeur. Qu’est ce qu’il s’est passé avec lui ? Personne ne le sait et personne ne souhaite le savoir, de peur de subir quelque chose.
Ses recherches sur internet n’ont rien donné, même chose avec les amis de Stéphane ou la famille. Personne ne sait ce qu’il s’est passé mais quand Stéphane a parlé d’hommes en capes noirs, il était sur ou est-ce qu’il pourrait trouver des informations. Quand il était gosse, Etienne passait beaucoup de temps à lire des livres de toutes sortes et son père avait le même hobby.
Il appuya sur la sonnette de la maison. Une femme lui ouvra la porte.
<Elisabeth> : Oh Etienne, ça me fait tellement plaisir de te voir !
<Etienne> : Bonjour maman.
*
* *
Un café, deux biscuits et une longue conversation plus tard…
<Etienne> : Tu aurais pas vu papa ?
<Elisabeth> : Il doit être dans la bibliothèque.
<Etienne> : Ok.
Quittant la cuisine pour se diriger vers les escaliers menant au deuxième étage de la maison, il remarqua que rien n’avait changé ici… toujours les mêmes bibelots, les mêmes photos… Il ouvris la porte de la bibliothèque et vit son père assis dans le fauteuil avec un livre à la main. La bibliothèque était la plus grande pièce de la maison, ces mur remplis de livres qu’ils récents ou non.
<Etienne> : Toujours « William Shakespeare »?
<Marc> : Les plus grand classiques sont les meilleurs… Comment te porte tu ? On ne te voit pas beaucoup à cause de ton travail.
<Etienne> : Je vais bien, La en ce moment on doit retrouver un gosse… t’aurais pas des histoires sur de hommes en noirs ?
Marc était étonné de la question d’Etienne.
<Marc> : Et pourquoi ?
Etienne lança un soupir il ne voulait pas raconter sur quoi il enquêtait et il avait pas assez de temps pour ça.
<Etienne> : Pour une enquête… Alors oui ou non ?
<Marc> : Oui oui… attends voir…
Marc cherchait dans les plus hautes étagères de la salle. Etienne remarqua que son père commençait à stresser. Marc voulait prendre son temps mais il voyait qu’Etienne changeait rapidement d’humeur. Il redescendit de l’étagère avec un gros livre poussiéreux.
<Marc> : Voila, c’est le seul bouquin de cette bibliothèque que j’ai à propos des capes noires. Je préfère te les raconter.
Marc raconta tout sur les hommes en noirs…
<Marc> : Leur histoire commence en l’an ……
- - - Interférences - - -
<Marc> : Voila je t’ai dit tout ce qu’il fallait savoir à propos des capes noirs
<Etienne> : Merc…
Il y avait un détail qui le perturbait… Etienne n’a jamais parlé de capes et lui non plus … Voyant que son fils se posait des questions, il continua à parler en tendant une petite feuille avec une inscription à la va-vite.
<Marc> : Au fait je t’ai noté mon numéro de compte au cas ou pour que tu puisse me rembourser…
Etienne ne comprenait pas mais quand il lut la feuille…
« Pars vite ! Tes collègues te prennent pour cible ! »
On entendait un léger déclic d’un pistolet. Très rapidement, il poussa son père pour pas qu’il soit touché par une balle, pris le livre et décampait a toute allure. Dans le couloir, Etienne se trouva devant deux hommes armés de revolvers mais il y avait quelque chose de changer chez eux, chez tout le monde d’ailleurs. Déjà, Ils avaient tous un foulard violet et il y avait autre chose aussi… dans leur yeux… des yeux de guépard… ça donnait des frissons. Mais il n’avait pas le temps de penser à tout ça maintenant il devait faire vite ! Un des deux hommes se rua vers lui, Etienne sort son pistolet et tira dans le mec il reçu la balle à la hanche mais il se comportait comme si il n’avait rien subi ! Il n’avait pas le choix, il devait partir ! il fit demi-tour et alla au fond du couloir, la brigade lui tirait dessus, il se prit une balle dans le bras… Il ouvrit la porte qui était à sa gauche et il la referma. Il se trouvait dans la salle de bain… Il s’approchât de la fenêtre, l’ouvrit et sauta dehors pour se ramasser sur le toit d’une voiture… des snipers étaient positionnés dans les maisons voisines et sur les toits… Pourquoi est-ce que ses parents habitent encore au centre de la ville ? Etienne reprit ses esprits et tout en évitant d’être a découvert il fonça vers le marché. La brigade qui comportait environ une trentaine d’hommes le pourchassait. Etienne risqua de regarder par derrière… Certains étaient en train de courir vers lui par tous les moyens … sur les toits des voitures, des maisons. D’autres le suivaient en moto… Si il ne trouvait pas de solution, il serait bientôt entre leurs mains… Il avait une idée mais c’était la seule qu’il avait… Il sortit son téléphone et composa un numéro…
--- Changement de monde ---
Le téléphone sonne, tout le monde dormait bien et il a fallu que le téléphone sonne pour que tout le monde sursaute… Dans un soupir je décrochais…
[c]
[/c]
« Cible à terre, Nous le ramenons au QG. Il a utilisé son téléphone pour faire une visioconférence avec le sujet 0. Fin du rapport. » Conversation radio entre un officier et le chef
Etienne a réussi à avoir congé aujourd’hui. L’enquête n’avance pas et ça na pas l’air d’inquiéter le chef de l’opération. Il a essayé de contacter l’ingénieur mais il tombe sur son répondeur. Qu’est ce qu’il s’est passé avec lui ? Personne ne le sait et personne ne souhaite le savoir, de peur de subir quelque chose.
Ses recherches sur internet n’ont rien donné, même chose avec les amis de Stéphane ou la famille. Personne ne sait ce qu’il s’est passé mais quand Stéphane a parlé d’hommes en capes noirs, il était sur ou est-ce qu’il pourrait trouver des informations. Quand il était gosse, Etienne passait beaucoup de temps à lire des livres de toutes sortes et son père avait le même hobby.
Il appuya sur la sonnette de la maison. Une femme lui ouvra la porte.
<Elisabeth> : Oh Etienne, ça me fait tellement plaisir de te voir !
<Etienne> : Bonjour maman.
*
* *
Un café, deux biscuits et une longue conversation plus tard…
<Etienne> : Tu aurais pas vu papa ?
<Elisabeth> : Il doit être dans la bibliothèque.
<Etienne> : Ok.
Quittant la cuisine pour se diriger vers les escaliers menant au deuxième étage de la maison, il remarqua que rien n’avait changé ici… toujours les mêmes bibelots, les mêmes photos… Il ouvris la porte de la bibliothèque et vit son père assis dans le fauteuil avec un livre à la main. La bibliothèque était la plus grande pièce de la maison, ces mur remplis de livres qu’ils récents ou non.
<Etienne> : Toujours « William Shakespeare »?
<Marc> : Les plus grand classiques sont les meilleurs… Comment te porte tu ? On ne te voit pas beaucoup à cause de ton travail.
<Etienne> : Je vais bien, La en ce moment on doit retrouver un gosse… t’aurais pas des histoires sur de hommes en noirs ?
Marc était étonné de la question d’Etienne.
<Marc> : Et pourquoi ?
Etienne lança un soupir il ne voulait pas raconter sur quoi il enquêtait et il avait pas assez de temps pour ça.
<Etienne> : Pour une enquête… Alors oui ou non ?
<Marc> : Oui oui… attends voir…
Marc cherchait dans les plus hautes étagères de la salle. Etienne remarqua que son père commençait à stresser. Marc voulait prendre son temps mais il voyait qu’Etienne changeait rapidement d’humeur. Il redescendit de l’étagère avec un gros livre poussiéreux.
<Marc> : Voila, c’est le seul bouquin de cette bibliothèque que j’ai à propos des capes noires. Je préfère te les raconter.
Marc raconta tout sur les hommes en noirs…
<Marc> : Leur histoire commence en l’an ……
- - - Interférences - - -
<Marc> : Voila je t’ai dit tout ce qu’il fallait savoir à propos des capes noirs
<Etienne> : Merc…
Il y avait un détail qui le perturbait… Etienne n’a jamais parlé de capes et lui non plus … Voyant que son fils se posait des questions, il continua à parler en tendant une petite feuille avec une inscription à la va-vite.
<Marc> : Au fait je t’ai noté mon numéro de compte au cas ou pour que tu puisse me rembourser…
Etienne ne comprenait pas mais quand il lut la feuille…
« Pars vite ! Tes collègues te prennent pour cible ! »
On entendait un léger déclic d’un pistolet. Très rapidement, il poussa son père pour pas qu’il soit touché par une balle, pris le livre et décampait a toute allure. Dans le couloir, Etienne se trouva devant deux hommes armés de revolvers mais il y avait quelque chose de changer chez eux, chez tout le monde d’ailleurs. Déjà, Ils avaient tous un foulard violet et il y avait autre chose aussi… dans leur yeux… des yeux de guépard… ça donnait des frissons. Mais il n’avait pas le temps de penser à tout ça maintenant il devait faire vite ! Un des deux hommes se rua vers lui, Etienne sort son pistolet et tira dans le mec il reçu la balle à la hanche mais il se comportait comme si il n’avait rien subi ! Il n’avait pas le choix, il devait partir ! il fit demi-tour et alla au fond du couloir, la brigade lui tirait dessus, il se prit une balle dans le bras… Il ouvrit la porte qui était à sa gauche et il la referma. Il se trouvait dans la salle de bain… Il s’approchât de la fenêtre, l’ouvrit et sauta dehors pour se ramasser sur le toit d’une voiture… des snipers étaient positionnés dans les maisons voisines et sur les toits… Pourquoi est-ce que ses parents habitent encore au centre de la ville ? Etienne reprit ses esprits et tout en évitant d’être a découvert il fonça vers le marché. La brigade qui comportait environ une trentaine d’hommes le pourchassait. Etienne risqua de regarder par derrière… Certains étaient en train de courir vers lui par tous les moyens … sur les toits des voitures, des maisons. D’autres le suivaient en moto… Si il ne trouvait pas de solution, il serait bientôt entre leurs mains… Il avait une idée mais c’était la seule qu’il avait… Il sortit son téléphone et composa un numéro…
--- Changement de monde ---
Le téléphone sonne, tout le monde dormait bien et il a fallu que le téléphone sonne pour que tout le monde sursaute… Dans un soupir je décrochais…
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« Cible à terre, Nous le ramenons au QG. Il a utilisé son téléphone pour faire une visioconférence avec le sujet 0. Fin du rapport. » Conversation radio entre un officier et le chef
Commentaires
- Pseudo supprimé
18/05/2011 à 18:56:21
Pas faux.
Il faudrait un style plus romancé. - PlanteVerte
18/05/2011 à 13:17:38
il faudrat changer les style de narration yann