Note de la fic :
Publié le 28/12/2011 à 14:11:46 par Mah-hieu
Elle me sourit et moi là je fond, à l’intérieur de moi, je me retiens de m'approcher, de la toucher, de l'embrasser.. Je ne sais pas si c'est réciproque et j'ai tellement envie de tester pour savoir, ENFIN savoir.
Mais bon, je vais commencer par le début.
Tout a commencé quelques mois plus tôt, je venais d'arriver dans cette entreprise et elle fût la première à m'accueillir "comme il se doit". Elle est venue vers moi.
" Hey salut, je m’appelle Mélanie, sois la bienvenue dans l'équipe j'espère que tu te plairas ici."
une simple phrase, un simple sourire et je sens déjà mon bas ventre réagir.. Non je ne suis pas une chaudasse, marie couche toi là, mais allez savoir pourquoi, là, tout de suite je la baiserais bien. Baiserais, moi la sainte nitouche, la nana " pas encore prête à aller plus loin avec une fille" je les désire, j'ai envie, je mouille souvent mais quand une femme me touche je ne peux pas, pas encore..
Mais Mélanie c'est autre chose, je ne le savais pas encore à ce moment là, elle a touché mon cœur avec son sourire. Un coup de foudre?! On dirait bien.
Alors me voici moi Sarah, Nitouche pour mes amis les plus proches, dans cette entreprise avec pleins de nouveaux collègues et surtout Mélanie.
Les jours passent, les mois passent et je travaille autant que je peux, dans ma journée je jongle entre Mélanie qui rit avec moi, qui travaille avec moi, qui mange avec moi le midi et mes dossiers.
Comment est-elle?
Grande, brune, une corpulence pulpeuse, des formes magnifiques, une poitrine généreuse, une chute de rein à vous faire tomber par terre, une chevelure bouclée tombante sur ses épaules, quelques mèches parfois viennent se glisser devant son visage et je n'ai qu'une envie alors c'est de les repousser derrière ses oreilles avec ma main. Ses yeux, ah ses yeux, grands magnifiques, bleus, qu'elle maquille de noir, ses lèvres son pulpeuses et peintes en rouge vif, un port de cou bien droit, magnifique.
Elle est belle dans son tailleur pantalon noir avec sa petite chemise blanche, ouverte à la naissance de son décolleté, un collier quelle met surement exprès pour accentuer l'envie de s'y nicher. Et sa démarche, élégante, vive, déterminée sur ses talons aiguilles.
Ahh Mélanie, elle m'excite.
Et voilà qu'un jour elle se lance, elle m'invite à boire un verre et nous voici dans ce bar qu'elle a choisi. Elle me regarde, sourit, rit même à ma réaction quand je comprends que nous sommes dans un bar gay.
Premièrement surprise je finis par sourire à mon tour, plus aucun doute, Mélanie est de mon bord.
La soirée se passe bien, nous rions, nous parlons et surtout nous buvons, beaucoup.
Je m'absente un moment pour me soulager aux toilettes, finis de faire pipi je sors de la cabine quand je tombe sur..Elle, elle qui m'attendait. Elle me sourit et me repousse dans la cabine des toilettes en refermant la porte.
Mon cœur bat, mes jambes sont de coton, je la regarde, elle me plait. Elle s'approche et tout en me fixant droit dans les yeux me glisse un " J'ai envie de te baiser " ses lèvres frolant les miennes. L'alcool aidant je suppose, je craque, souris et je vais pour l'embrasser quand elle me repousse en me disant un langoureux " Non, c'est moi qui décide quand. ".
Et je me retrouve là, collée à la parois de ces foutues chiottes avec la femme que je désire contre moi. Elle se colle, caresse mes seins avec les siens à travers le tissu tandis qu'une de ses mains se pose sur mon genoux. Je ne suis pas prête, pas comme ça, je ne veux pas que ma première fois se fasse ici dans ces chiottes. Je la repousse doucement, lui souffle un non. Mais ma Mélanie est devenue une autre femme, son regard est luxure, son corps est chaud, son haleine est certes pleine d'alcool mais aussi de cette odeur de cerise, petits bonbons qu'elle suce souvent. Elle pose une main sur mon sein, doucement entre deux doigts elle prend mon téton et le pince gentiment. Allez savoir pourquoi, je me mets à gémir telle une ado, j'oublie mon non. Mais ça ne s’arrête pas là, j'en veux plus, j'en veux encore.
Je pose ma main sur sa hanche, la rapproche de moi au possible, pour mon plus grand plaisir elle se laisse faire tandis que sa main glisse sous mon tee-shirt, sous mon soutif, sur mon sein, pince mon téton. Son autre main remonte le long de mon genoux, ma cuisse, l'intérieur de ma cuisse jusqu'à effleurer mon minou du bout de ses doigts chauds. Je gémis, j'en ai envie, je veux d'elle là, maintenant dans ces chiottes sordides..
J'ai envie de l'embrasser mais elle ne veut pas, elle fuit mes lèvres lorsqu'elles se rapprochent plus, elle les léche par petits coups de langue sensuels. Alors que pendant ce temps elle glisse sa main directement dans mon string, elle caresse mon pubis, descend un doigt encore plus, touche mon clitoris qui est déjà bien gonflé.
Je me mets à gémir, j'en réclame encore plus, je veux qu'elle me fasse jouir ici et maintenant. Mais non, elle ne veut pas. Elle désire me faire languir, me faire la supplier même.
Elle se décide et m'embrasse à pleine bouche, sa langue caressant la mienne, elle mord doucement ma lèvre inférieure, l'aspire. Et moi pendant tout ça, je gémis et je mouille comme jamais.
Chose qu'elle a bien remarqué, elle glisse son doigt jusqu’à mon trou qu'elle caresse sans entrer, des mouvements circulaires. Elle va me rendre folle.
Et d'un coup sec entre en moi, un doigt d'abord. Elle le ramène vers elle doucement tout en étant à l'intérieur et commence avec précision à toucher ma paroi, à me caresser de l'intérieur. Et ça me fait gémir, je suis à la limite de crier lorsqu'elle s'en apperçoit et pose sa main sur ma bouche pour me faire taire un maximum. Sa bouche vient contre mon oreille, elle susurre des mots cochons, me dit qu'elle va me faire jouir..
Et pendant ce temps, son doigt est ressorti et est sur mon clitoris qu'il caresse avec ma mouille, doucement d'abord puis plus vite, de plus en plus vite. Je vais jouir, je le sens, l'orgasme tant attendu est là, tout proche. Il arrive quand elle entre deux doigts en moi et qu'avec son pouce elle caresse mon clitoris, tandis que sa bouche maintenant mordille un de mes tétons à travers mon tee-shirt.
Je hurle à travers sa main, je jouis, mon corps est alors parcouru de spasme, mon clitoris explose sous son doigt, mes muscles se contractent, mon cœur s'emballe et je jouis, contre ce mur..
Je n'ai pas été assez discrète, c'est le cas de le dire et quelqu'un tambourine à notre porte en nous hurlant de sortir. Quel timing parfait, quelques minutes plus tard et tout était gâché. Nous sortons, moi partagée entre la surprise de ce que je viens de faire les sensations encore présentes de cet orgasme la honte de s'être fait prendre, et elle qui fière d'elle sort des toilettes un petit sourire aux lèvres. Évidement nous sommes priée de sortir du bar, ce que nous faisons pour se retrouver toutes les deux dans la rue à se regarder pour finalement exploser de rire.
Nous avons continué la soirée chez moi, mais ceci est un autre chapitre..
Mais bon, je vais commencer par le début.
Tout a commencé quelques mois plus tôt, je venais d'arriver dans cette entreprise et elle fût la première à m'accueillir "comme il se doit". Elle est venue vers moi.
" Hey salut, je m’appelle Mélanie, sois la bienvenue dans l'équipe j'espère que tu te plairas ici."
une simple phrase, un simple sourire et je sens déjà mon bas ventre réagir.. Non je ne suis pas une chaudasse, marie couche toi là, mais allez savoir pourquoi, là, tout de suite je la baiserais bien. Baiserais, moi la sainte nitouche, la nana " pas encore prête à aller plus loin avec une fille" je les désire, j'ai envie, je mouille souvent mais quand une femme me touche je ne peux pas, pas encore..
Mais Mélanie c'est autre chose, je ne le savais pas encore à ce moment là, elle a touché mon cœur avec son sourire. Un coup de foudre?! On dirait bien.
Alors me voici moi Sarah, Nitouche pour mes amis les plus proches, dans cette entreprise avec pleins de nouveaux collègues et surtout Mélanie.
Les jours passent, les mois passent et je travaille autant que je peux, dans ma journée je jongle entre Mélanie qui rit avec moi, qui travaille avec moi, qui mange avec moi le midi et mes dossiers.
Comment est-elle?
Grande, brune, une corpulence pulpeuse, des formes magnifiques, une poitrine généreuse, une chute de rein à vous faire tomber par terre, une chevelure bouclée tombante sur ses épaules, quelques mèches parfois viennent se glisser devant son visage et je n'ai qu'une envie alors c'est de les repousser derrière ses oreilles avec ma main. Ses yeux, ah ses yeux, grands magnifiques, bleus, qu'elle maquille de noir, ses lèvres son pulpeuses et peintes en rouge vif, un port de cou bien droit, magnifique.
Elle est belle dans son tailleur pantalon noir avec sa petite chemise blanche, ouverte à la naissance de son décolleté, un collier quelle met surement exprès pour accentuer l'envie de s'y nicher. Et sa démarche, élégante, vive, déterminée sur ses talons aiguilles.
Ahh Mélanie, elle m'excite.
Et voilà qu'un jour elle se lance, elle m'invite à boire un verre et nous voici dans ce bar qu'elle a choisi. Elle me regarde, sourit, rit même à ma réaction quand je comprends que nous sommes dans un bar gay.
Premièrement surprise je finis par sourire à mon tour, plus aucun doute, Mélanie est de mon bord.
La soirée se passe bien, nous rions, nous parlons et surtout nous buvons, beaucoup.
Je m'absente un moment pour me soulager aux toilettes, finis de faire pipi je sors de la cabine quand je tombe sur..Elle, elle qui m'attendait. Elle me sourit et me repousse dans la cabine des toilettes en refermant la porte.
Mon cœur bat, mes jambes sont de coton, je la regarde, elle me plait. Elle s'approche et tout en me fixant droit dans les yeux me glisse un " J'ai envie de te baiser " ses lèvres frolant les miennes. L'alcool aidant je suppose, je craque, souris et je vais pour l'embrasser quand elle me repousse en me disant un langoureux " Non, c'est moi qui décide quand. ".
Et je me retrouve là, collée à la parois de ces foutues chiottes avec la femme que je désire contre moi. Elle se colle, caresse mes seins avec les siens à travers le tissu tandis qu'une de ses mains se pose sur mon genoux. Je ne suis pas prête, pas comme ça, je ne veux pas que ma première fois se fasse ici dans ces chiottes. Je la repousse doucement, lui souffle un non. Mais ma Mélanie est devenue une autre femme, son regard est luxure, son corps est chaud, son haleine est certes pleine d'alcool mais aussi de cette odeur de cerise, petits bonbons qu'elle suce souvent. Elle pose une main sur mon sein, doucement entre deux doigts elle prend mon téton et le pince gentiment. Allez savoir pourquoi, je me mets à gémir telle une ado, j'oublie mon non. Mais ça ne s’arrête pas là, j'en veux plus, j'en veux encore.
Je pose ma main sur sa hanche, la rapproche de moi au possible, pour mon plus grand plaisir elle se laisse faire tandis que sa main glisse sous mon tee-shirt, sous mon soutif, sur mon sein, pince mon téton. Son autre main remonte le long de mon genoux, ma cuisse, l'intérieur de ma cuisse jusqu'à effleurer mon minou du bout de ses doigts chauds. Je gémis, j'en ai envie, je veux d'elle là, maintenant dans ces chiottes sordides..
J'ai envie de l'embrasser mais elle ne veut pas, elle fuit mes lèvres lorsqu'elles se rapprochent plus, elle les léche par petits coups de langue sensuels. Alors que pendant ce temps elle glisse sa main directement dans mon string, elle caresse mon pubis, descend un doigt encore plus, touche mon clitoris qui est déjà bien gonflé.
Je me mets à gémir, j'en réclame encore plus, je veux qu'elle me fasse jouir ici et maintenant. Mais non, elle ne veut pas. Elle désire me faire languir, me faire la supplier même.
Elle se décide et m'embrasse à pleine bouche, sa langue caressant la mienne, elle mord doucement ma lèvre inférieure, l'aspire. Et moi pendant tout ça, je gémis et je mouille comme jamais.
Chose qu'elle a bien remarqué, elle glisse son doigt jusqu’à mon trou qu'elle caresse sans entrer, des mouvements circulaires. Elle va me rendre folle.
Et d'un coup sec entre en moi, un doigt d'abord. Elle le ramène vers elle doucement tout en étant à l'intérieur et commence avec précision à toucher ma paroi, à me caresser de l'intérieur. Et ça me fait gémir, je suis à la limite de crier lorsqu'elle s'en apperçoit et pose sa main sur ma bouche pour me faire taire un maximum. Sa bouche vient contre mon oreille, elle susurre des mots cochons, me dit qu'elle va me faire jouir..
Et pendant ce temps, son doigt est ressorti et est sur mon clitoris qu'il caresse avec ma mouille, doucement d'abord puis plus vite, de plus en plus vite. Je vais jouir, je le sens, l'orgasme tant attendu est là, tout proche. Il arrive quand elle entre deux doigts en moi et qu'avec son pouce elle caresse mon clitoris, tandis que sa bouche maintenant mordille un de mes tétons à travers mon tee-shirt.
Je hurle à travers sa main, je jouis, mon corps est alors parcouru de spasme, mon clitoris explose sous son doigt, mes muscles se contractent, mon cœur s'emballe et je jouis, contre ce mur..
Je n'ai pas été assez discrète, c'est le cas de le dire et quelqu'un tambourine à notre porte en nous hurlant de sortir. Quel timing parfait, quelques minutes plus tard et tout était gâché. Nous sortons, moi partagée entre la surprise de ce que je viens de faire les sensations encore présentes de cet orgasme la honte de s'être fait prendre, et elle qui fière d'elle sort des toilettes un petit sourire aux lèvres. Évidement nous sommes priée de sortir du bar, ce que nous faisons pour se retrouver toutes les deux dans la rue à se regarder pour finalement exploser de rire.
Nous avons continué la soirée chez moi, mais ceci est un autre chapitre..
Commentaires
- Gregor
29/12/2011 à 10:39:35
Mouais bof ... Sujet déjà traité, et cette mouture-ci n'est pas la plus originale que j'ai jamais lu ...