Note de la fic :
Personne n'est parfait
Par : Fhurai, Nivek
Genre : Sentimental, No-Fake
Statut : C'est compliqué
Chapitre 19 : Peur inexplicable
Publié le 04/08/2011 à 23:47:21 par Fhurai
[c]L’Epace est au Temps ce que le Temps est à l’Espace,
Un frère, un ami et en même temps un ennemi, un rival.
Je vois l’Espace s’étendre indéfiniment et je ne peux supporter le vertige que cela me fait.
Je vois le Temps s’écouler inexorablement et je ne cesse de vouloir l’arrêter.
Les deux concepts, forces incontestées de notre univers m’inspirent tout et son contraire ;
Je ne peux pas expliquer cette volonté à vouloir les contrôler
Mais parallèlement, elles me rebutent et me poussent à m’y soustraire
J’ai envie de tout envoyer balader mais mon souhait premier est de continuer d’exister.
Ma plus grande peur est de disparaître et finalement n’être qu’un nom de plus.
Je suis effrayé qu’on voie mon nom et qu’il indiffère tous les gens.
C’est pourquoi je considère cette pensées comme un témoignage de l’être que je fus
Ma peur m’accompagne sans cesse, j’y pense le moins possible ;
Elle me casse, me brise et m’enferme de longues heures pourtant,
Elle est telle que ce soir, je l’exprime alors que pour tous elle est risible.[/c]
Pas de commentaire vache, s'il vous plaît. Cette pensée a été faite dans un instant de déprime totale, glauque et morbide. Merci de compatir à l'état de l'auteur.
Un frère, un ami et en même temps un ennemi, un rival.
Je vois l’Espace s’étendre indéfiniment et je ne peux supporter le vertige que cela me fait.
Je vois le Temps s’écouler inexorablement et je ne cesse de vouloir l’arrêter.
Les deux concepts, forces incontestées de notre univers m’inspirent tout et son contraire ;
Je ne peux pas expliquer cette volonté à vouloir les contrôler
Mais parallèlement, elles me rebutent et me poussent à m’y soustraire
J’ai envie de tout envoyer balader mais mon souhait premier est de continuer d’exister.
Ma plus grande peur est de disparaître et finalement n’être qu’un nom de plus.
Je suis effrayé qu’on voie mon nom et qu’il indiffère tous les gens.
C’est pourquoi je considère cette pensées comme un témoignage de l’être que je fus
Ma peur m’accompagne sans cesse, j’y pense le moins possible ;
Elle me casse, me brise et m’enferme de longues heures pourtant,
Elle est telle que ce soir, je l’exprime alors que pour tous elle est risible.[/c]
Pas de commentaire vache, s'il vous plaît. Cette pensée a été faite dans un instant de déprime totale, glauque et morbide. Merci de compatir à l'état de l'auteur.