Note de la fic : Non notée
Essais de LaVolière
Par : kosmos
Genre : Réaliste, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : He calls out to the man on the street
Publié le 11/10/2011 à 17:20:14 par kosmos
Lentement, il avance,
Son revolver poitné sur elle.
Elle ne sais plus quoi penser:
Résister, ou ne pas résister.
Fébrile, elle sors ses bijoux,
Sa montre, son argent.
Il pars. Elle le maudit.
Mais ce qu'elle ne sais pas,
C'est que sous ce masque de voleur
Se cache un homme, et pas n'importe lequel:
Celui-ci est père.
Sa femme l'a quitté, il se retrouve
Seul, avec son fils de deux ans.
Il doit le nourrir.
Son patron l'a viré, il se retrouve
A la rue, sans un sou, avec
Son fils de deux ans
Qu'il doit nourrir.
Victime de la société, il est
Obligé de voler pour
Nourrir son fils.
Ne le jugez pas si vite!
Car c'est un bon bougre.
Le système a juste fait de lui
Un homme voulant survivre.
Il fait nuit, il est au bout du rouleau.
Sous un réverbère, l'objectif contre sa tête,
Il appuis sur la détente de son pistolet.
Son revolver poitné sur elle.
Elle ne sais plus quoi penser:
Résister, ou ne pas résister.
Fébrile, elle sors ses bijoux,
Sa montre, son argent.
Il pars. Elle le maudit.
Mais ce qu'elle ne sais pas,
C'est que sous ce masque de voleur
Se cache un homme, et pas n'importe lequel:
Celui-ci est père.
Sa femme l'a quitté, il se retrouve
Seul, avec son fils de deux ans.
Il doit le nourrir.
Son patron l'a viré, il se retrouve
A la rue, sans un sou, avec
Son fils de deux ans
Qu'il doit nourrir.
Victime de la société, il est
Obligé de voler pour
Nourrir son fils.
Ne le jugez pas si vite!
Car c'est un bon bougre.
Le système a juste fait de lui
Un homme voulant survivre.
Il fait nuit, il est au bout du rouleau.
Sous un réverbère, l'objectif contre sa tête,
Il appuis sur la détente de son pistolet.
Commentaires
- kosmos
12/10/2011 à 13:02:51
Merci
Normal: le titre est la première phrase de cette chanson (enfin c'est she au lieu de he mais bon ... ^^) - MassiveDynamic
11/10/2011 à 18:31:47
C'est pas mal, le titre du chapitre me fait penser à la chanson de Phil Colins, another day in paradise