Note de la fic :
Cours (très) particulier
Par : mintoi
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 20 : Nouvelle vision
Publié le 16/10/2011 à 20:12:36 par mintoi
:mac: Chapitre 20 : Nouvelle vision :mac:
Je coupe le contact et sors de la voiture. Jules se précipite en dehors du véhicule lui aussi.
Nous montons les marches qui mènent à mon immeuble, je place mon pass contre le récepteur et pénètre dans le hall du bâtiment, suivi de près par le beau blond qui m’accompagne.
Quelques mètres sur la gauche, de nouveau des escaliers et nous arrivons à la porte de mon studio.
Pendant que j’introduis… la clé dans la serrure, Jules vient se placer derrière moi et m’enlace de ses bras tout en me caressant le torse. Je sens d’ores et déjà mon sexe se tendre dans mon jean…
L : J’te préviens, on reste pas longtemps ici, parce qu’on a quand même de la route à faire jusqu’à Stuttgart.
J : Oui, oui… Allez, vas-y, ouvre !
Je pousse la porte et alors que je m’apprête à lui dire d’entrer, Jules se jette à nouveau sur moi et me pousse sur mon petit lit qui se trouve juste derrière la porte de mon 16 m².
Il monte ensuite à quatre pattes sur moi et commence à m’embrasser de manière aussi fougueuse que précédemment dans la voiture. Je passe mes mains sur son dos et les glisse sous sa chemise pour venir caresser directement sa peau douce.
Il m’embrasse la bouche, puis le menton et le cou. Il s’attarde sur celui-ci, tout en me caressant le ventre. Mes doigts passent sur le sien et je commence à déboutonner progressivement sa chemise, bouton par bouton…
Ses lèvres charnues sont revenues sur les miennes et j’arrive enfin à lui ôter totalement sa chemise. Je le repousse un peu pour pouvoir regarder ce torse qui me fait tant envie. Voir ses beaux pectoraux fins et musclés, son ventre ferme et d’une douceur incroyable, sa peau mordorée… Tout chez lui me fait craquer.
Alors qu’il redescend vers moi pour replonger sa langue dans ma bouche, je le bascule sur le côté pour prendre le dessus, mais sur un lit une place, l’opération est risquée et nous tombons sur le tapis qui se trouve au sol. Il nous faut plus que ça pour nous arrêter et je profite de ma position dominante pour enlever à mon tour mon haut et venir frotter mon jean contre son pantalon en donnant de petits coups de bassin. Je descends ma main sur son ventre petit à petit et saisis la boucle de sa ceinture…
J : Attends Lucas, faut qu’j’te parle d’abord…
Je lui réponds tout en continuant à lui embrasser le visage.
L : Qu’est-ce qu’il y a ?
J : Ben, c’est la première fois pour…
L : Avec ce qu’a dit ton père, je me doute bien que t’as jamais couché avec quelqu’un…
J : Non, c’est pas c'que j'voulais dire… Ohlala, tu vas me prendre pour un extra-terrestre…
Je m’arrête, son lobe d’oreille entre mes lèvres et écoute ce qu’il veut me dire.
J : Ben, en fait, tu sais, le discours de mon père sur le sexe… Qui dit que les relations sexuelles, c’est mal et tout ça…
L : Oui…
J : Eh ben, ça s’applique aussi à d’autres choses…
L : Comme ?
J : Ben, en fait, j’me suis jamais… enfin quoi, tu comprends, hein ?
L : Jamais, jamais ?
J : Ben non, jamais. Il me disait que c’était mauvais pour moi, que je pourrais avoir des maladies si j'le faisais… Que c’est un péché et tout ça… Et je l’ai toujours écouté…
L : Mais…
J : Écoute, je sais qu’c’est bizarre, mais j’ai toujours eu peur de l’faire après c’que m’avait dit mon père… Du coup, je me suis renseigné auprès d’Etienne y a quelques jours et il s’est un peu foutu d'ma gueule mais si j’ai bien compris, y a rien de dangereux, hein ?
L : Non, non, tu peux te tripoter autant que tu veux sans risque… Mais en fait, tu connais rien à rien à c'niveau-là ?
Je le sens qui rougit, gêné par ma remarque un peu trop directe.
L : Excuse-moi, c’est pas c’que j’voulais dire…
J : Non, non, t’excuse pas, t’as raison… Tu sais, sans télé, sans ordi, sans portable, avec des sorties plus que limitées et seulement avec les gens de mon lycée privé pour gamins friqués et élevés de façon assez similaire à la mienne, c’est pas évident de connaître beaucoup de choses à ce sujet.
L : Oui, j’comprends bien… Ça n'a pas du être facile pour toi... Tu sais quoi ? Je crois que je vais devoir t'enseigner une nouvelle discipline... Ça te dit que j'devienne ton prof de sexualité ? Tu verras, je suis très doué dans ce domaine... Et tu trouveras pas de meilleurs cours particuliers à des kilomètres à la ronde...
Il rit de mes bêtises et je reprends mes bisous dans son cou. Il se cambre sous l’effet de mes lèvres sur sa peau.
L : Leçon numéro un : La masturbation… Vas-y, fais comme moi…
Je tire sur la boucle de ma ceinture et déboutonne mon jean, vite imité par Jules, élève appliqué...
Je coupe le contact et sors de la voiture. Jules se précipite en dehors du véhicule lui aussi.
Nous montons les marches qui mènent à mon immeuble, je place mon pass contre le récepteur et pénètre dans le hall du bâtiment, suivi de près par le beau blond qui m’accompagne.
Quelques mètres sur la gauche, de nouveau des escaliers et nous arrivons à la porte de mon studio.
Pendant que j’introduis… la clé dans la serrure, Jules vient se placer derrière moi et m’enlace de ses bras tout en me caressant le torse. Je sens d’ores et déjà mon sexe se tendre dans mon jean…
L : J’te préviens, on reste pas longtemps ici, parce qu’on a quand même de la route à faire jusqu’à Stuttgart.
J : Oui, oui… Allez, vas-y, ouvre !
Je pousse la porte et alors que je m’apprête à lui dire d’entrer, Jules se jette à nouveau sur moi et me pousse sur mon petit lit qui se trouve juste derrière la porte de mon 16 m².
Il monte ensuite à quatre pattes sur moi et commence à m’embrasser de manière aussi fougueuse que précédemment dans la voiture. Je passe mes mains sur son dos et les glisse sous sa chemise pour venir caresser directement sa peau douce.
Il m’embrasse la bouche, puis le menton et le cou. Il s’attarde sur celui-ci, tout en me caressant le ventre. Mes doigts passent sur le sien et je commence à déboutonner progressivement sa chemise, bouton par bouton…
Ses lèvres charnues sont revenues sur les miennes et j’arrive enfin à lui ôter totalement sa chemise. Je le repousse un peu pour pouvoir regarder ce torse qui me fait tant envie. Voir ses beaux pectoraux fins et musclés, son ventre ferme et d’une douceur incroyable, sa peau mordorée… Tout chez lui me fait craquer.
Alors qu’il redescend vers moi pour replonger sa langue dans ma bouche, je le bascule sur le côté pour prendre le dessus, mais sur un lit une place, l’opération est risquée et nous tombons sur le tapis qui se trouve au sol. Il nous faut plus que ça pour nous arrêter et je profite de ma position dominante pour enlever à mon tour mon haut et venir frotter mon jean contre son pantalon en donnant de petits coups de bassin. Je descends ma main sur son ventre petit à petit et saisis la boucle de sa ceinture…
J : Attends Lucas, faut qu’j’te parle d’abord…
Je lui réponds tout en continuant à lui embrasser le visage.
L : Qu’est-ce qu’il y a ?
J : Ben, c’est la première fois pour…
L : Avec ce qu’a dit ton père, je me doute bien que t’as jamais couché avec quelqu’un…
J : Non, c’est pas c'que j'voulais dire… Ohlala, tu vas me prendre pour un extra-terrestre…
Je m’arrête, son lobe d’oreille entre mes lèvres et écoute ce qu’il veut me dire.
J : Ben, en fait, tu sais, le discours de mon père sur le sexe… Qui dit que les relations sexuelles, c’est mal et tout ça…
L : Oui…
J : Eh ben, ça s’applique aussi à d’autres choses…
L : Comme ?
J : Ben, en fait, j’me suis jamais… enfin quoi, tu comprends, hein ?
L : Jamais, jamais ?
J : Ben non, jamais. Il me disait que c’était mauvais pour moi, que je pourrais avoir des maladies si j'le faisais… Que c’est un péché et tout ça… Et je l’ai toujours écouté…
L : Mais…
J : Écoute, je sais qu’c’est bizarre, mais j’ai toujours eu peur de l’faire après c’que m’avait dit mon père… Du coup, je me suis renseigné auprès d’Etienne y a quelques jours et il s’est un peu foutu d'ma gueule mais si j’ai bien compris, y a rien de dangereux, hein ?
L : Non, non, tu peux te tripoter autant que tu veux sans risque… Mais en fait, tu connais rien à rien à c'niveau-là ?
Je le sens qui rougit, gêné par ma remarque un peu trop directe.
L : Excuse-moi, c’est pas c’que j’voulais dire…
J : Non, non, t’excuse pas, t’as raison… Tu sais, sans télé, sans ordi, sans portable, avec des sorties plus que limitées et seulement avec les gens de mon lycée privé pour gamins friqués et élevés de façon assez similaire à la mienne, c’est pas évident de connaître beaucoup de choses à ce sujet.
L : Oui, j’comprends bien… Ça n'a pas du être facile pour toi... Tu sais quoi ? Je crois que je vais devoir t'enseigner une nouvelle discipline... Ça te dit que j'devienne ton prof de sexualité ? Tu verras, je suis très doué dans ce domaine... Et tu trouveras pas de meilleurs cours particuliers à des kilomètres à la ronde...
Il rit de mes bêtises et je reprends mes bisous dans son cou. Il se cambre sous l’effet de mes lèvres sur sa peau.
L : Leçon numéro un : La masturbation… Vas-y, fais comme moi…
Je tire sur la boucle de ma ceinture et déboutonne mon jean, vite imité par Jules, élève appliqué...