Note de la fic :
Publié le 28/09/2011 à 15:58:29 par Sipro
Avant toute chose, sachez cher lecteur, et peut être lectrices, qu'un titre ne comporte pas de point. Comme vous l'avez fait avec vos fics. Bravo à vous.
Bien, dès à présent, concentrons nous sur les titres. Dans le système pénal américain, le ministère public est représenté par deux groupes distincts, mais d'égale importance : la police, qui enquête sur les crimes, et le procureur, qui poursuit les criminels. Voici leurs histoires.
Pourquoi a-t-on besoin d'un livre ? Pour pouvoir écrire dessus. (D'accord, je vous l'accorde cette blague était facile).
Pourquoi a-t-on besoin d'une table ? Pour que le livre ne tombe sur le sol. La table retient le livre. Par un phénomène de physique très bien connu mais trop compliqué à expliqué, deux forces opposées de même intensité se rencontrant s'annulent, la table exerce alors une force bien suffisante pour qu'elle puisse annuler la force de gravité que produit le livre posé sur cette même table, table qui, il faut le dire, avait appartenu à un vicomte en Lauzère, lui même, fils de vicomte, devenu vicomte lorsque son père, feu monsieur le vicomte fut décédé, tout comme le fut sa grand mère quand il fut plus jeune, grand mère qui avait elle aussi, ne l'oublions pas, des amis en provence, dont les amis avaient eux mêmes d'autres amis, dont un ami laitier, qui avait une fille, et une autre fille, mais cette dernière fille était sa fille de lait, élevé par la même gouvernante, lorsque celles-ci n'étaient pas encore entichées l'une de l'autre, créant le chapitre 9 d'une certaine fic. Ces mêmes filles avaient un commun professeur, qui lorsqu'il le voulait, prenait, de temps en temps, un chocolat chaud, chose dont peu de personnes peuvent se vanter de nos jours, puisqu'en effet, plus personne n'a le temps de faire chauffer son lait dans une casserole en cuivre, car sachez le, le cuivre conduit mieux la chaleur que les autres métaux, puis avalant la peau du lait, peau que plus personne ne mange, sauf les bonnes gens, car il leur fallait pour cela une cuillère, mais qui de nos jours peut s'acheter une cuillère, les prix pour celles-ci sont bien trop élevés, tout cela à cause d'un phénomène planétaire économique, que les plus grands médias du monde se gaussent-à appeler, la crise. Revenons-en à ce cher professeur, qui buvant son chocolat chaud avec son lait, avait une frère, lui même prêtre de son état, et qui avait, parfois, des nouvelles d'une nièce à lui, habitant dans le Var. Ce prêtre, cet homme de foi, marié à Dieu, ou peut être à Marie, car dans ce cas, Dieu serait homosexuel, ce qui n'est pas très très bien vu de la part de cette grande sec... religion, que nous appelons le plus souvent Christianisme. Cette homme donc, ce prêtre, dont la nièce lui envoyait des nouvelles par lettres, lui écrivait parfois, à la manière de George Sand. Cette nièce, fort intelligente, malgré le fait qu'elle fut une femme, et en même temps très rusée, tel le renard dans la fable du boeuf et de la grenouille était fortement amoureuse de son très cher amant, le duc de Paris. Ce duc, avait lui même une connaissance qui cultivait les moustiques au Canada. Certes, sachez bien, car sachez bien qui saurez le dernier, que les moustiques sont des nuisances entomiques non ou très peu présentes au Canada, car le climat de ce pays ne leur est pas favorable. Lequel climat n'est pas non plus plus favorable aux gens qui y habitent. Eh bien, cet homme élevant les moustiques, avait une mère, qui parfois, à cause de la brise du mois de Mars, attrapait un rhume.
Merci d'avoir lu. Je sais que c'est compliqué, et que l'on commence à décroché à partir de la mère du monsieur qui élève les moustiques. Beaucoup de gens me l'ont déjà signalé, mais c'est une histoire comme les autres, malheureusement.
Bien, dès à présent, concentrons nous sur les titres. Dans le système pénal américain, le ministère public est représenté par deux groupes distincts, mais d'égale importance : la police, qui enquête sur les crimes, et le procureur, qui poursuit les criminels. Voici leurs histoires.
Pourquoi a-t-on besoin d'un livre ? Pour pouvoir écrire dessus. (D'accord, je vous l'accorde cette blague était facile).
Pourquoi a-t-on besoin d'une table ? Pour que le livre ne tombe sur le sol. La table retient le livre. Par un phénomène de physique très bien connu mais trop compliqué à expliqué, deux forces opposées de même intensité se rencontrant s'annulent, la table exerce alors une force bien suffisante pour qu'elle puisse annuler la force de gravité que produit le livre posé sur cette même table, table qui, il faut le dire, avait appartenu à un vicomte en Lauzère, lui même, fils de vicomte, devenu vicomte lorsque son père, feu monsieur le vicomte fut décédé, tout comme le fut sa grand mère quand il fut plus jeune, grand mère qui avait elle aussi, ne l'oublions pas, des amis en provence, dont les amis avaient eux mêmes d'autres amis, dont un ami laitier, qui avait une fille, et une autre fille, mais cette dernière fille était sa fille de lait, élevé par la même gouvernante, lorsque celles-ci n'étaient pas encore entichées l'une de l'autre, créant le chapitre 9 d'une certaine fic. Ces mêmes filles avaient un commun professeur, qui lorsqu'il le voulait, prenait, de temps en temps, un chocolat chaud, chose dont peu de personnes peuvent se vanter de nos jours, puisqu'en effet, plus personne n'a le temps de faire chauffer son lait dans une casserole en cuivre, car sachez le, le cuivre conduit mieux la chaleur que les autres métaux, puis avalant la peau du lait, peau que plus personne ne mange, sauf les bonnes gens, car il leur fallait pour cela une cuillère, mais qui de nos jours peut s'acheter une cuillère, les prix pour celles-ci sont bien trop élevés, tout cela à cause d'un phénomène planétaire économique, que les plus grands médias du monde se gaussent-à appeler, la crise. Revenons-en à ce cher professeur, qui buvant son chocolat chaud avec son lait, avait une frère, lui même prêtre de son état, et qui avait, parfois, des nouvelles d'une nièce à lui, habitant dans le Var. Ce prêtre, cet homme de foi, marié à Dieu, ou peut être à Marie, car dans ce cas, Dieu serait homosexuel, ce qui n'est pas très très bien vu de la part de cette grande sec... religion, que nous appelons le plus souvent Christianisme. Cette homme donc, ce prêtre, dont la nièce lui envoyait des nouvelles par lettres, lui écrivait parfois, à la manière de George Sand. Cette nièce, fort intelligente, malgré le fait qu'elle fut une femme, et en même temps très rusée, tel le renard dans la fable du boeuf et de la grenouille était fortement amoureuse de son très cher amant, le duc de Paris. Ce duc, avait lui même une connaissance qui cultivait les moustiques au Canada. Certes, sachez bien, car sachez bien qui saurez le dernier, que les moustiques sont des nuisances entomiques non ou très peu présentes au Canada, car le climat de ce pays ne leur est pas favorable. Lequel climat n'est pas non plus plus favorable aux gens qui y habitent. Eh bien, cet homme élevant les moustiques, avait une mère, qui parfois, à cause de la brise du mois de Mars, attrapait un rhume.
Merci d'avoir lu. Je sais que c'est compliqué, et que l'on commence à décroché à partir de la mère du monsieur qui élève les moustiques. Beaucoup de gens me l'ont déjà signalé, mais c'est une histoire comme les autres, malheureusement.