Note de la fic : :noel: :noel:

La guerre est déclarée.


Par : toniodupc
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1


Publié le 14/09/2011 à 18:57:11 par toniodupc

Il neigeait. Un ciel blanc avec mille flacons de neige qui tombent. Enfin l'hiver. Il est 6 heures du matin, je me lève allume mon pc, j'appelle ma mère pour manger mon petit déjeuner.
Elle ne répond pas. Je continu de l’appeler tout en contemplent ce superbe paysage depuis la fenêtre de ma chambre.
Je sors de ma chambre en claquant la porte, criant de plus en plus fort :

- MAMAN !! Réveille toi j'ai faim, je veux manger mes pancakes !

Le pancake ... J'adore sa depuis que je suis parti en vacances, l'année dernière en Turquie dans un hôtel 5 étoile chaque matin au buffet, il y avait des pancake et ma mère ma promis de m'en faire chaque matin arriver a la maison.
Evidemment les sien ne sont pas aussi bon.

Je commence a m'inquiéter et fit irruption dans sa chambre. Pas là.
Je sors de ma maison pour voir mon quartier de banlieue, qui, est généralement toujours rempli. Personne, pas un bruit, un désert avec des immeubles grand et majestueux sur toute la ligne. Un journal s'envola ce qui me fit sursauter, je l’avoue, je suis un peu peureux.
Je vais toquer chez mon meilleur ami, un adulte, même si moi je suis au collège. Zakari.
Il est là, l'air affolé.

- Viens rentre vite !

Je rentre chez lui. Il me tend une arme, c'est un revolver, c'est la première fois de ma vie que j'en vois un. Le revolver faillit me tomber des mains car j'osais à peine le toucher.

- Que que que ... Qu'est qui ce passe ? Pourquoi me donnes tu ce revolver ?? T'es devenus fou ou quoi ? m'écriais-je.

- Va à la gare et tu comprendra, tiens prend ça au cas ou. me répondit-il brièvement en me donnant des recharges.

Il me raccompagna jusqu'à la porte. Je suis sur qu'il plaisantais. Je forme une boule de neige et lui balance dans la tête. Il ne fit rien, il ne plaisante pas.
J'allais a la gare, traînant des pied.
J'y arriva, rien, même pas les prostituées qui y traîne habituellement. Je marchais le long du quai cherchant le moindre signe de vie. Quand quelqu'un me toucha l'épaule, je sursauta.
Je reconnais se visage, un gars du collège, Enrik

- Je m'en doutais que vous aviez fais un coup montez avec Zakari. rigolais-je

Mais le visage d'Enrik était étrange comme si c'était un zombie ... Des cernes de partout.
Il sorti un couteau de sa poche je recula d'un bond, il s’avança de moi tout doucement, je recule au fur et a mesure.
Il essaya de me le planter dans le cou, je sortis mon revolver et le tua. Sous la peur, j'ai tué un ami...

- Défense légitime ! m'écriais-je

Je restais sans bouger me répétant dans ma tête que je suis un monstre d'avoir tué un ami.
J'entendis des pas. Plein de personnes armées jusqu'au dent la gueule ouverte avec des yeux rouge de sang qui ne pense qu'à une chose que l'on voit rien qu'en les regardant, me tuer. C'était des zombies !
Je stress. Je vise, tire, recharge et ainsi de suite, mais il sont trop nombreux pour moi. Parmi les zombies j'y vit ma mère.

- Maman ! m'écriai-je voulant la ramener sur terre.

Mais rien en marcha, elle voulais me tuer.
Je le bouscula tous. Courant chez mon amis je glissa par terre et tomba, je me redresse aussitôt par peur de me faire tuer.
Arriver devant chez lui, je ne toque même pas, j'ouvre la porte, et la referme a double tours.

- Les zombies ont envahi le monde. Tout le monde on était pris d'un virus mortel, nous deux, sommes les seul survivant car nous n'avons pas installer d'anti-virus. L'anti-virus est une arme, tous ceux qui l'ont sont zombies et ceux qui n'on pas d'ordi son aussi contaminé ... Nous avons eu comme qui dirai du pot, il existe trois catégorie, ceux qui on un pc avec anti-virus, ceux qui n'on pas de pc et ceux qui n'on pas d'anti-virus, les deux premières catégories sont contaminée autant dire qu'il ne reste plus que nous de survivant. m’expliqua t'il. Viens, suis moi.

Il sort de la maison. Mais il est fou ou quoi de sortir dans une ville de zombies ?!
Je le suis quand même, après tout il ne reste plus que lui.
On vola une voiture, et, étant donné que Zakari savait conduire il nous conduisit à l'armurerie.
On cassa la vitre ainsi que le verrou puis on prit tous les armes qu'on pouvait stoker dans la voiture, sniper, mitraillette, kalachnikov, toute armes. Puis des recharges.
On pris de la nourriture au supermarché d'à coté et on partit. On roula roula roula pendant de longues heures.


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