Note de la fic :
Publié le 15/09/2011 à 19:00:46 par Ckrocky
Je sortis mon couteau suisse du tiroir de mon bureau, pris un mouchoir et l'enfonçai dans sa bouche, ce qui la réveilla de ses derniers instants de tranquillité. Elle essaya d'hurler, mais en vain, le tissu étouffait ses cris, et cette grange était placée à quelques kilomètres de toute civilisation. J'ouvris mon canif, et le fis doucement courir le long de son bras.
- J'aurai ma vengeance... Tu vas souffrir, ce sera le plus long mois de toute ta vie.
Son maquillage coulait déjà le long de ses joues. Une goutte tomba sur la table.
Le couteau, maintenant arrivé au bout de son index, se plantait doucement dans sa peau. Sa première goutte de sang venait de couler sur la lame. Je l'arrachai d'un coup, laissant une trainée rouge ruisseler continuellement à la surface de la table.
[c]
*
* *[/c]
Je tirai violemment sur son chemisier, le laissai tomber par terre, enlevai ses chaussures brunes et tirai doucement sur son pantalon en toile claire. Elle était maintenant en sous-vêtement. Il n'y avait donc plus que sa peau pour empêcher ma lame d'atteindre ses organes vitaux.
Sa mâchoire tremblait. Elle ne contrôlait plus aucun de ses spasmes, ce qui me donnait un sentiment de satisfaction, de puissance et de l'adrénaline. J'adorais ça.
Avec le sourire, je pris le cure-dent du couteau suisse, et le plantait dans son oreille, toujours plus profond. Lorsque je sentis une résistance, j'attrapai le manche du couteau, et frappait sur le bout de plastique, comme un sculpteur sur sa statue. Une rivière rouge dévalait maintenant son cou, avant de se jeter sur le bois moisi.
Je fis demi tour, ouvris un autre tiroir du bureau et retournai vers Laurianne, muni d'une grosse pince.
Elle écarquilla ses yeux injectés de sang, sa respiration s'accélérait à mesure que je me rapprochais. Elle voulait se débattre et poussait des cris étouffés.
-T'inquiète pas. Ça va pas te faire trop mal... Enfin si tu penses à autre chose.
Je laissai glisser l'outil sur son visage, et m'arrêtai sur son nez. J'ouvris la pince, et la refermai d'un seul coup. Elle saignait abondamment de la narine gauche, et avait un cratère au milieu du visage.
-Voilà, souriais-je, penses à ça !
J'attrapai sa main rouge, qui s'agrippait à la table. J'isolai son pouce entre deux de mes doigts.
-Concentre-toi bien sur ton nez... Maintenant c'est parti !
Je tirai sèchement sur son ongle, et, une fois qu'il fut extirpé, je le plantai dans sa narine. Je laissai tomber la pince sur le sol de pierre. Un bruit aigu résonna dans la vaste pièce. Je tenais sa main droite à plat, et poussais son doigt vers son coude. Je repris mon couteau, sorti la lame maintenant rouge vif et coupai lentement la peau qui se trouve entre le pouce et l'index.
Lorsqu'un lambeau de peau tomba de sa main, je repris son pouce et appuyai violemment dessus. Son déboitement la fit hurler de douleur sous son mouchoir.
-Bon... je te laisse 5 minutes de « tranquillité » ! Si jamais t'as trop mal concentre-toi sur ton nez.
Je rangeai le canif dans la poche arrière de mon jeans, et sortit de la maisonnette de bois. Je claquai la porte à ses gémissements. Elle était seule avec ses pensées et sa peur.
J'allumai une cigarette et m'assis par terre. J'avais besoin de faire une pause, même si ça me soulageais, toute cette torture me donnait des frissons.
[c]*
* *
[/c]
Une fois à l'intérieur, je refermai la porte et contemplais la salle. Sous la table où était attachée Laurianne, quelques flaques de sang grandissaient peu à peu ensemble. La porte du mur à ma droite menait à une salle de bain, le strict minimum.
Je m'approchais de Laurianne. Je fis un geste en direction du bureau, sur lequel étaient posés divers outils et autre objets de tous les jours qui me serviraient plus tard.
-Ecoute, sale blondasse, je vais rapidement t'expliquer la situation. Toutes ces pinces, ces marteaux et tout le reste, ça va me servir à te torturer très longtemps. Dans un des tiroirs, y'a des seringues avec plusieurs sortes de produits, que tu auras tout le temps de découvrir ces jours-ci. Mais je voudrais juste te préciser que j'ai les moyens de te garder éveillé. Donc n'espère pas t'évanouir pour oublier la souffrance.
Elle évitait mon regard. J'ouvris un tiroir et lui montrait un calendrier.
-Je pense que si je te torture un mois entier, ça devrait suffire, non ? Mais attention, si jamais je te dis d'arrêter d'hurler, et que tu cries encore plus fort, ça te feras une semaine de plus.
Elle arrêta soudain tous ses gémissements et pleurs. Je souris.
-On compte 30 jours à partir de demain, ça te va ?
Je tirai une chaise bancale jusqu'à la hauteur de sa tête. J'y déposai une seringue, un citron, et une paire de ciseaux.
Au vu de son air effrayé, je lui fis un clin d'½il.
-C'est le programme de demain...
J'y ajoutai un marteau.
-Et ça, ce sera peut-être ton bonus !
- J'aurai ma vengeance... Tu vas souffrir, ce sera le plus long mois de toute ta vie.
Son maquillage coulait déjà le long de ses joues. Une goutte tomba sur la table.
Le couteau, maintenant arrivé au bout de son index, se plantait doucement dans sa peau. Sa première goutte de sang venait de couler sur la lame. Je l'arrachai d'un coup, laissant une trainée rouge ruisseler continuellement à la surface de la table.
[c]
*
* *[/c]
Je tirai violemment sur son chemisier, le laissai tomber par terre, enlevai ses chaussures brunes et tirai doucement sur son pantalon en toile claire. Elle était maintenant en sous-vêtement. Il n'y avait donc plus que sa peau pour empêcher ma lame d'atteindre ses organes vitaux.
Sa mâchoire tremblait. Elle ne contrôlait plus aucun de ses spasmes, ce qui me donnait un sentiment de satisfaction, de puissance et de l'adrénaline. J'adorais ça.
Avec le sourire, je pris le cure-dent du couteau suisse, et le plantait dans son oreille, toujours plus profond. Lorsque je sentis une résistance, j'attrapai le manche du couteau, et frappait sur le bout de plastique, comme un sculpteur sur sa statue. Une rivière rouge dévalait maintenant son cou, avant de se jeter sur le bois moisi.
Je fis demi tour, ouvris un autre tiroir du bureau et retournai vers Laurianne, muni d'une grosse pince.
Elle écarquilla ses yeux injectés de sang, sa respiration s'accélérait à mesure que je me rapprochais. Elle voulait se débattre et poussait des cris étouffés.
-T'inquiète pas. Ça va pas te faire trop mal... Enfin si tu penses à autre chose.
Je laissai glisser l'outil sur son visage, et m'arrêtai sur son nez. J'ouvris la pince, et la refermai d'un seul coup. Elle saignait abondamment de la narine gauche, et avait un cratère au milieu du visage.
-Voilà, souriais-je, penses à ça !
J'attrapai sa main rouge, qui s'agrippait à la table. J'isolai son pouce entre deux de mes doigts.
-Concentre-toi bien sur ton nez... Maintenant c'est parti !
Je tirai sèchement sur son ongle, et, une fois qu'il fut extirpé, je le plantai dans sa narine. Je laissai tomber la pince sur le sol de pierre. Un bruit aigu résonna dans la vaste pièce. Je tenais sa main droite à plat, et poussais son doigt vers son coude. Je repris mon couteau, sorti la lame maintenant rouge vif et coupai lentement la peau qui se trouve entre le pouce et l'index.
Lorsqu'un lambeau de peau tomba de sa main, je repris son pouce et appuyai violemment dessus. Son déboitement la fit hurler de douleur sous son mouchoir.
-Bon... je te laisse 5 minutes de « tranquillité » ! Si jamais t'as trop mal concentre-toi sur ton nez.
Je rangeai le canif dans la poche arrière de mon jeans, et sortit de la maisonnette de bois. Je claquai la porte à ses gémissements. Elle était seule avec ses pensées et sa peur.
J'allumai une cigarette et m'assis par terre. J'avais besoin de faire une pause, même si ça me soulageais, toute cette torture me donnait des frissons.
[c]*
* *
[/c]
Une fois à l'intérieur, je refermai la porte et contemplais la salle. Sous la table où était attachée Laurianne, quelques flaques de sang grandissaient peu à peu ensemble. La porte du mur à ma droite menait à une salle de bain, le strict minimum.
Je m'approchais de Laurianne. Je fis un geste en direction du bureau, sur lequel étaient posés divers outils et autre objets de tous les jours qui me serviraient plus tard.
-Ecoute, sale blondasse, je vais rapidement t'expliquer la situation. Toutes ces pinces, ces marteaux et tout le reste, ça va me servir à te torturer très longtemps. Dans un des tiroirs, y'a des seringues avec plusieurs sortes de produits, que tu auras tout le temps de découvrir ces jours-ci. Mais je voudrais juste te préciser que j'ai les moyens de te garder éveillé. Donc n'espère pas t'évanouir pour oublier la souffrance.
Elle évitait mon regard. J'ouvris un tiroir et lui montrait un calendrier.
-Je pense que si je te torture un mois entier, ça devrait suffire, non ? Mais attention, si jamais je te dis d'arrêter d'hurler, et que tu cries encore plus fort, ça te feras une semaine de plus.
Elle arrêta soudain tous ses gémissements et pleurs. Je souris.
-On compte 30 jours à partir de demain, ça te va ?
Je tirai une chaise bancale jusqu'à la hauteur de sa tête. J'y déposai une seringue, un citron, et une paire de ciseaux.
Au vu de son air effrayé, je lui fis un clin d'½il.
-C'est le programme de demain...
J'y ajoutai un marteau.
-Et ça, ce sera peut-être ton bonus !
Commentaires
- Dea-Symbelmyne
17/09/2011 à 14:09:18
ahahah!!!! J'ADORE. T'assures tite punkette ;)
- Ckrocky
16/09/2011 à 18:33:47
J'suis en train d'écrire la suite, mais j'hésitais à la refaire en entier... Finallement si vous aimez bien comme ça
- gorlf
15/09/2011 à 23:37:08
Ptain, j'aimerai pas être à sa place+ faut avoir une case pour écrire un truc pareil
- Mattia-omG
15/09/2011 à 22:04:39
Post la suite. Explique pourquoi toute cette torture!