Note de la fic :
Publié le 14/12/2008 à 16:11:56 par RobertCisIeauk
Paul-le-flic : AHAHAHA Mais que fait cette personne
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Un homme avait commencé à pisser sur le mur du commissariat
Bernard : euuuuuuuu piiiipiiiiii uéééé j'adore fair pipi *hic* sur les flic *hic*
Paul-Le-Flic : AHAHAH Monsieur arrété tout de suite, mais vous avez bue (mon augmentation approche je le sens)
Bernard : tu veux que je t'arrose toi aussi tu vas voir
Bernard, aprés avoir arrosé le mur, commença a refair la facade de Paul qui le plaqua au sol
Bernard : l'alcool s'est pas bien, y faut pas boireeeeeeeeee ni se droguéééééééééé car y faut paaaaaaas,je vais me fair gronder par le policiéééééééééé
Paul lui mis les menottes et l'emmena avec lui pour le foutre au trou avec les jeunes.
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Paul-le-flic: désolé de vous arrétez les jeunes mais je dois libérer Mr Robert Legland pour le remettre a la maison de retraite.
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Paul-le-flic : Désoler mais vous vous restez ici d'ailleur je vous amméne de la compagnie, vas y Bernard rentre
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Robert rentra dans le voiture de policier avec Paul, s'ayé cette abrutie de policié allait le mettre en libérté et en plus dans une maison de retraite avec plein de vieille qui d'ailleur on surement la visite de leur petit enfant
Robert adorait la voiture de police, il se croyé dans Starsky et Hutch mais se qui lui parut byzzard fut les photos de Bernadette Chirac un peu partout dans l'auto, il avait trouvait un Fan de bernadette, il allait mettre le flic dans sa poche
Robert : Je sais pas vous mais je trouve Bernadette Chirac trés charmante
Paul-le-flic : Ho OUI TROP S'EST UNE BONNASSE UNE BOMBE SEXUELLE , Euh AHAHAHA Je veux dire oui, trés charmante se bon vieux Jacque a bien de la chance, vous savez je suis désolé de vous avoir arrété tout a l'heure mais les jeunes avaient l'aire dire que vous alliez les violer
Robert : Moi voyons, fair sa, NON, a non s'est dégueulasse, moi je ne ferais certainement jamais sa (le flic était dans sa poche)
Paul-le-flic : certainement, tient nous voila arrivé a la Maison de retraite Touty Lesvieu, je vous accompagne
Robert : Non je crois me souvenir, merci bien en revoir, A MOI LES PTITES VIEILLES
Paul-le-flic: a vous les quoi ?
Robert : Euh je veux dire a moi les petite cuilléres, je les collectionnes a vrai dire
Paul s'en alla, Robert lui contemplé son future logement, par la vitre il pouvait voir les jolies corps moulé des ancêtres . Robert marcha jusqu'a la porte d'entrée, let's go to the party
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Un homme avait commencé à pisser sur le mur du commissariat
Bernard : euuuuuuuu piiiipiiiiii uéééé j'adore fair pipi *hic* sur les flic *hic*
Paul-Le-Flic : AHAHAH Monsieur arrété tout de suite, mais vous avez bue (mon augmentation approche je le sens)
Bernard : tu veux que je t'arrose toi aussi tu vas voir
Bernard, aprés avoir arrosé le mur, commença a refair la facade de Paul qui le plaqua au sol
Bernard : l'alcool s'est pas bien, y faut pas boireeeeeeeeee ni se droguéééééééééé car y faut paaaaaaas,je vais me fair gronder par le policiéééééééééé
Paul lui mis les menottes et l'emmena avec lui pour le foutre au trou avec les jeunes.
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Paul-le-flic: désolé de vous arrétez les jeunes mais je dois libérer Mr Robert Legland pour le remettre a la maison de retraite.
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Paul-le-flic : Désoler mais vous vous restez ici d'ailleur je vous amméne de la compagnie, vas y Bernard rentre
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Robert rentra dans le voiture de policier avec Paul, s'ayé cette abrutie de policié allait le mettre en libérté et en plus dans une maison de retraite avec plein de vieille qui d'ailleur on surement la visite de leur petit enfant
Robert adorait la voiture de police, il se croyé dans Starsky et Hutch mais se qui lui parut byzzard fut les photos de Bernadette Chirac un peu partout dans l'auto, il avait trouvait un Fan de bernadette, il allait mettre le flic dans sa poche
Robert : Je sais pas vous mais je trouve Bernadette Chirac trés charmante
Paul-le-flic : Ho OUI TROP S'EST UNE BONNASSE UNE BOMBE SEXUELLE , Euh AHAHAHA Je veux dire oui, trés charmante se bon vieux Jacque a bien de la chance, vous savez je suis désolé de vous avoir arrété tout a l'heure mais les jeunes avaient l'aire dire que vous alliez les violer
Robert : Moi voyons, fair sa, NON, a non s'est dégueulasse, moi je ne ferais certainement jamais sa (le flic était dans sa poche)
Paul-le-flic : certainement, tient nous voila arrivé a la Maison de retraite Touty Lesvieu, je vous accompagne
Robert : Non je crois me souvenir, merci bien en revoir, A MOI LES PTITES VIEILLES
Paul-le-flic: a vous les quoi ?
Robert : Euh je veux dire a moi les petite cuilléres, je les collectionnes a vrai dire
Paul s'en alla, Robert lui contemplé son future logement, par la vitre il pouvait voir les jolies corps moulé des ancêtres . Robert marcha jusqu'a la porte d'entrée, let's go to the party